SESAR augmentera la sécurité et la performance environnementale du transport aérien et assurera le maintien du leadership européen sur le marché mondial aéronautique.
La Commission va développer ce grand projet industriel avec Eurocontrol et, dans une deuxième phase, avec des partenaires industriels.
Jacques Barrot, Vice-Président de la Commission européenne en charge des transports, a déclaré : « L’Europe bénéficiera de l’infrastructure de contrôle aérien la plus performante au monde. SESAR, en rendant le transport aérien plus efficace, apportera quelque 50 milliards d’euros à la croissance européenne. Le projet créera près de 200 000 emplois hautement qualifiés».
Les perspectives de croissance du trafic aérien en Europe montrent que d’ici 2025, le trafic sera amené à doubler, voire tripler dans certaines zones.
Cette croissance ne pourra s’effectuer sans une modernisation complète de l’infrastructure de contrôle aérien permettant l’optimisation des trajectoires des avions et l’élimination des problèmes de congestion.
SESAR augmentera également la sécurité du transport aérien, aujourd’hui contrainte par un certain vieillissement des technologies et la fragmentation du contrôle aérien. Enfin, SESAR réduira les émissions de gaz à effet de serre de 4 à 6% par vol.
SESAR est le volet technologique du Ciel Unique Européen, lancé en 2004 pour réformer l’organisation du contrôle aérien. Il mettra en place des nouvelles technologies de communication, de contrôle et de calcul entre le sol et les avions afin d’optimiser les tâches des contrôleurs aériens et des pilotes.
Aujourd’hui, alors que le cockpit s’automatise de plus en plus contrôleur et pilote dialoguent toujours par voie vocale à travers des moyens radio.
Comme Galileo, le projet est organisé en trois phases. La phase de définition qui sera lancée demain (2005-2007) définit la feuille de route, c'est-à-dire les technologies à déployer et les modes d’organisation et coûtera 60 millions d’euros (50% budget européen, 50% Eurocontrol).
La phase de développement (2008-2013) dans laquelle il s’agit de concevoir les systèmes et d’en réaliser les éléments critiques est estimée à environ 300 millions d’euros par an (chaque fois un tiers pour le budget européen, Eurocontrol, et l’industrie).
Pendant la phase de déploiement (2014-2020) le système sera financé par l’industrie et installé à une large échelle en Europe et dans les pays associés.
La Commission va développer ce grand projet industriel avec Eurocontrol et, dans une deuxième phase, avec des partenaires industriels.
Jacques Barrot, Vice-Président de la Commission européenne en charge des transports, a déclaré : « L’Europe bénéficiera de l’infrastructure de contrôle aérien la plus performante au monde. SESAR, en rendant le transport aérien plus efficace, apportera quelque 50 milliards d’euros à la croissance européenne. Le projet créera près de 200 000 emplois hautement qualifiés».
Les perspectives de croissance du trafic aérien en Europe montrent que d’ici 2025, le trafic sera amené à doubler, voire tripler dans certaines zones.
Cette croissance ne pourra s’effectuer sans une modernisation complète de l’infrastructure de contrôle aérien permettant l’optimisation des trajectoires des avions et l’élimination des problèmes de congestion.
SESAR augmentera également la sécurité du transport aérien, aujourd’hui contrainte par un certain vieillissement des technologies et la fragmentation du contrôle aérien. Enfin, SESAR réduira les émissions de gaz à effet de serre de 4 à 6% par vol.
SESAR est le volet technologique du Ciel Unique Européen, lancé en 2004 pour réformer l’organisation du contrôle aérien. Il mettra en place des nouvelles technologies de communication, de contrôle et de calcul entre le sol et les avions afin d’optimiser les tâches des contrôleurs aériens et des pilotes.
Aujourd’hui, alors que le cockpit s’automatise de plus en plus contrôleur et pilote dialoguent toujours par voie vocale à travers des moyens radio.
Comme Galileo, le projet est organisé en trois phases. La phase de définition qui sera lancée demain (2005-2007) définit la feuille de route, c'est-à-dire les technologies à déployer et les modes d’organisation et coûtera 60 millions d’euros (50% budget européen, 50% Eurocontrol).
La phase de développement (2008-2013) dans laquelle il s’agit de concevoir les systèmes et d’en réaliser les éléments critiques est estimée à environ 300 millions d’euros par an (chaque fois un tiers pour le budget européen, Eurocontrol, et l’industrie).
Pendant la phase de déploiement (2014-2020) le système sera financé par l’industrie et installé à une large échelle en Europe et dans les pays associés.
