"Nous sommes en bonne santé financière et avons une bonne base de départ. Nous avons retrouvé notre agressivité", a déclaré Karl-Ludwig Kley au quotidien financier Handelsblatt à paraître aujourd'hui.
"Il n'y a rien pour l'instant, mais nous sommes prêts si des occasions se présentaient", a-t-il ajouté en soulignant que la trésorerie du groupe s'élevait à 3,8 milliards d'euros. Peu après le rachat de Swiss le 22 mars, la direction de Lufthansa avait affirmé ne pas prévoir de nouveaux rachats, même s'ils avaient relancé les spéculations sur une prise de contrôle du transporteur régional Eurowings.
L'intégration de Swiss coûtera 101 M€
Certains analystes ont aussi spéculé sur un rachat par Lufthansa de l'autrichienne Austrian Airlines ou de la scandinave SAS, qui sont membres de son grand groupement international Star Alliance.
Lufthansa a évalué à 101 M EUR le coût de l'intégration de la compagnie helvétique déficitaire. Le groupe allemand avait signé ainsi la deuxième plus grande fusion de l'histoire de l'aviation européenne après celle d'Air France et KLM
Kley indique aussi au Handelsblatt que Lufthansa, qui détient 50% du voyagiste Thomas Cook, n'avait pas l'intention de racheter l'autre moitié du capital au distributeur KarstadtQuelle en pleine restructuration.
La Rédaction - redaction@tourmag.com b[
"Il n'y a rien pour l'instant, mais nous sommes prêts si des occasions se présentaient", a-t-il ajouté en soulignant que la trésorerie du groupe s'élevait à 3,8 milliards d'euros. Peu après le rachat de Swiss le 22 mars, la direction de Lufthansa avait affirmé ne pas prévoir de nouveaux rachats, même s'ils avaient relancé les spéculations sur une prise de contrôle du transporteur régional Eurowings.
L'intégration de Swiss coûtera 101 M€
Certains analystes ont aussi spéculé sur un rachat par Lufthansa de l'autrichienne Austrian Airlines ou de la scandinave SAS, qui sont membres de son grand groupement international Star Alliance.
Lufthansa a évalué à 101 M EUR le coût de l'intégration de la compagnie helvétique déficitaire. Le groupe allemand avait signé ainsi la deuxième plus grande fusion de l'histoire de l'aviation européenne après celle d'Air France et KLM
Kley indique aussi au Handelsblatt que Lufthansa, qui détient 50% du voyagiste Thomas Cook, n'avait pas l'intention de racheter l'autre moitié du capital au distributeur KarstadtQuelle en pleine restructuration.
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