
Les employés de Germanwings travaillent sur des contrats temporaires gérés par une agence créée spécialement par Manpower et Lufthansa. Ces employés ne bénéficient ni de cotisation retraite ni de cotisation maladie./photo JDL
La compagnie allemande en a dit un peu plus hier sur son projet de basculer les vols courts courriers des bases de Hambourg, Düsseldorf et Berlin vers sa filiale low cost Germanwings.
Par ailleurs, les vols feeders des hubs de Francfort et Munich resteront opérés par Lufthansa.
Le mouvement de grève qui avait bloqué l'activité de Lufthansa cet automne pour protester contre le projet de création d'une filiale court courrier low cost dédiée à la base de Berlin et aux vols européens hors hubs de Francfort et de Munich, n'a donc pas découragé la compagnie allemande.
Celle-ci est toujours déterminée à faire baisser drastiquement les coûts d'opération du court courrier pour lutter contre la prise de marché de plus en plus importante des compagnies low cost.
Avec le projet de création de New Germanwings dont le coût est estimé à 30 millions d'euros, Lufthansa prévoit de réaliser 200 millions d'euros d'économie.
Un millier d'employés Lufthansa vont basculer chez Germanwings et pas moins de 800 postes seront en outre supprimés.
Par ailleurs, les vols feeders des hubs de Francfort et Munich resteront opérés par Lufthansa.
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Celle-ci est toujours déterminée à faire baisser drastiquement les coûts d'opération du court courrier pour lutter contre la prise de marché de plus en plus importante des compagnies low cost.
Avec le projet de création de New Germanwings dont le coût est estimé à 30 millions d'euros, Lufthansa prévoit de réaliser 200 millions d'euros d'économie.
Un millier d'employés Lufthansa vont basculer chez Germanwings et pas moins de 800 postes seront en outre supprimés.
Ni cotisation retraite ni maladie pour les employés de Germanwings.
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En attendant des négociations sociales qui vont s'avérer difficiles, la compagnie a annoncé la gamme tarifaire qui sera appliquée par New Germanwings à partir du 1er juillet 2013.
Les appareils seront mono classes mais avec une classe Economie qui sera divisée en trois catégorie. Le billet Basic à partir de 33 euros ne donnera droit qu'à l'achat du siège.
Puis, la compagnie déclinera toute une série d'options pour le billet Smart à 53 euros et surtout pour le billet Best de 199 à 399 euros ouvrant pour ce dernier, l'accès au salon, la sélection du siège, un catering à la carte, etc.
L'objectif étant de regagner la confiance des entreprises et de leurs voyageurs toujours plus enclins à choisir les low cost pour leurs déplacements européens.
Cette classification de l'Eco en trois catégories va devenir le standart des court courriers. La semaine dernière, Finnair a adopté le même principe pour l'ensemble de son réseau.
Et on attend les conclusions des chantiers menés par les cadres d'Air France pour en savoir plus sur le sujet.
D'ores et déjà, Alexandre de Juniac a laissé entendre lors de l'EVP d'American Express que les options payantes allaient se développer chez Air France/KLM.
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D'ores et déjà, Alexandre de Juniac a laissé entendre lors de l'EVP d'American Express que les options payantes allaient se développer chez Air France/KLM.