"Nous avons 50% de chances de clore l'année 2005 sur un bénéfice. Mais il est certain que nous serons bénéficiaires nets en 2006", a-t-il assuré, sans donner de précision chiffrée. NetJets Europe, filiale du groupe américain NetJets détenu par le milliardaire Warren Buffett, a été créée en 1996.
Le groupe table sur une croissance soutenue du marché de l'aviation d'affaires au cours des prochaines années, et prévoit d'augmenter sa flotte. "Il y a trois ans, nous avions 90 clients. Cette année nous franchirons le cap du millier" en Europe, fait valoir M. Booth.
Des crédits de temps de vol annuel
Le concept de copropriété d'avions, sur lequel repose Netjets, permet de détenir une part dans un appareil qui donne droit à un crédit de temps de vol annuel. Le groupe compte vendre "entre 22 et 25 avions cette année" après en avoir écoulé 18 en 2004.
NetJets prendra livraison de 33 nouveaux appareils cette année, soit une augmentation de 50% de sa flotte de 61 appareils, comprenant des Citation Bravo, Citation Excel, Raytheon Hawker 800XP, Dassault Falcon 2000, 2000EX, et Gulfstream IV-SP et V.
Il envisage en outre d'acquérir le dernier-né de l'avionneur français Dassault Aviation, le triréacteur de luxe Falcon 7X. "Nous sommes en discussions avec Dassault Aviation concernant son 7X", a annoncé le président du groupe, en précisant n'avoir "pas encore pris de décision".
Le Falcon 7X, proposé au prix de 37 à 39 millions de dollars, possède un rayon d'action de 10.500 kilomètres, permettant un vol direct Paris-Tokyo. "Nous enregistrons une demande considérable pour des jets longue portée", a
constaté M. Booth.
Jusqu'à Munich en jet privé au départ de plus de 1.000 aéroports
NetJets compte également sur son partenariat signé début mars avec Lufthansa pour se développer. "Cet accord va nous permettre d'augmenter considérablement notre nombre de clients", s'est-il félicité. Selon les termes du contrat, Lufthansa offrira à ses clients classe affaires et première de voyager jusqu'à Munich en jet privé affrété par NetJets, au départ de plus de 1.000 aéroports européens.
Netjets exclut toutefois de conclure un accord de même type avec une autre compagnie aérienne européenne, comme Air France. "Nous avons un accord exclusif avec Lufthansa", a-t-il souligné.
Le groupe table sur une croissance soutenue du marché de l'aviation d'affaires au cours des prochaines années, et prévoit d'augmenter sa flotte. "Il y a trois ans, nous avions 90 clients. Cette année nous franchirons le cap du millier" en Europe, fait valoir M. Booth.
Des crédits de temps de vol annuel
Le concept de copropriété d'avions, sur lequel repose Netjets, permet de détenir une part dans un appareil qui donne droit à un crédit de temps de vol annuel. Le groupe compte vendre "entre 22 et 25 avions cette année" après en avoir écoulé 18 en 2004.
NetJets prendra livraison de 33 nouveaux appareils cette année, soit une augmentation de 50% de sa flotte de 61 appareils, comprenant des Citation Bravo, Citation Excel, Raytheon Hawker 800XP, Dassault Falcon 2000, 2000EX, et Gulfstream IV-SP et V.
Il envisage en outre d'acquérir le dernier-né de l'avionneur français Dassault Aviation, le triréacteur de luxe Falcon 7X. "Nous sommes en discussions avec Dassault Aviation concernant son 7X", a annoncé le président du groupe, en précisant n'avoir "pas encore pris de décision".
Le Falcon 7X, proposé au prix de 37 à 39 millions de dollars, possède un rayon d'action de 10.500 kilomètres, permettant un vol direct Paris-Tokyo. "Nous enregistrons une demande considérable pour des jets longue portée", a
constaté M. Booth.
Jusqu'à Munich en jet privé au départ de plus de 1.000 aéroports
NetJets compte également sur son partenariat signé début mars avec Lufthansa pour se développer. "Cet accord va nous permettre d'augmenter considérablement notre nombre de clients", s'est-il félicité. Selon les termes du contrat, Lufthansa offrira à ses clients classe affaires et première de voyager jusqu'à Munich en jet privé affrété par NetJets, au départ de plus de 1.000 aéroports européens.
Netjets exclut toutefois de conclure un accord de même type avec une autre compagnie aérienne européenne, comme Air France. "Nous avons un accord exclusif avec Lufthansa", a-t-il souligné.
