Rachel Picard la directrice de Voyages SNCF, Guillaume Pépy, le présidence de la SNCF et Roland De Barbentane, le directeur de OuiBus lors du départ du premier autocar OuiBus. DR - LAC
Les premiers autocars OuiBus sont partis vendredi 4 septembre de la gare de Paris Bercy.
Cette nouvelle marque devrait proposer près de 130 liaisons d’ici l’année prochaine, soit 35 gares de plus que l'ex-IDBus. (voir notre précédent article)
La SNCF compte opérer ces lignes avec 15 partenaires autocaristes locaux, comme Salaün Holidays, Verdié, Striebig (filiale de Keolis), le groupe Faure ou encore Philibert Transport.
"Nous avons négocié avec eux une rémunération fixe et fiable, quelque soit le taux de remplissage " explique Roland De Barbentane, le directeur de OuiBus.
Des transporteurs qui sont pour la plupart également agences de voyages, mais qui ne pourront pas encore vendre les billets OuiBus.
" Les clients peuvent réserver sur notre site et sur celui de voyages-sncf.com. La distribution via les agences de voyages est dans les tuyaux" assure-t-il.
Cette nouvelle marque devrait proposer près de 130 liaisons d’ici l’année prochaine, soit 35 gares de plus que l'ex-IDBus. (voir notre précédent article)
La SNCF compte opérer ces lignes avec 15 partenaires autocaristes locaux, comme Salaün Holidays, Verdié, Striebig (filiale de Keolis), le groupe Faure ou encore Philibert Transport.
"Nous avons négocié avec eux une rémunération fixe et fiable, quelque soit le taux de remplissage " explique Roland De Barbentane, le directeur de OuiBus.
Des transporteurs qui sont pour la plupart également agences de voyages, mais qui ne pourront pas encore vendre les billets OuiBus.
" Les clients peuvent réserver sur notre site et sur celui de voyages-sncf.com. La distribution via les agences de voyages est dans les tuyaux" assure-t-il.
Une flotte confortable et moderne
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Au final, La flotte en propre de OuiBus sera composée de 140 autocars dont 60 anciens IdBus (comprenant 8 bus à double étages) qui ont été totalement réaménagés.
Les véhicules des transporteurs partenaires seront également réaménagés, afin d’offrir une flotte et une qualité de service homogène.
Pour les conduire, 200 nouveaux "capitaines" vont être recrutés et devront faire 400 heures de formation. Car la SNCF ne compte pas badiner avec la sécurité, ainsi que l'a martelé Guillaume Pépy.
"C'est une offre low-cost mais nous ne feront absolument aucune concession quant à la sécurité ou la réglementation. "
Le autocars compteront, en fonction des lignes, 49, 57 ou 74 sièges, espacés de 75 centimètres. Les voyageurs auront accès à une connexion wifi, à une prise électrique et bien sûr aux toilettes. Coté prix, la SNCF a voulu simplifier les choses, avec 3 ou 4 tarifs différents et un maximum de 30 euros par trajet.
Le groupe refuse de communiquer des objectifs précis en terme de nombre de clients, mais espère vendre au maximum les 4 millions de places disponibles en 2016. Les ex-iDBus affichaient déjà un taux d’occupation global de 75%, et même de 85% au mois d’août dernier.
Les véhicules des transporteurs partenaires seront également réaménagés, afin d’offrir une flotte et une qualité de service homogène.
Pour les conduire, 200 nouveaux "capitaines" vont être recrutés et devront faire 400 heures de formation. Car la SNCF ne compte pas badiner avec la sécurité, ainsi que l'a martelé Guillaume Pépy.
"C'est une offre low-cost mais nous ne feront absolument aucune concession quant à la sécurité ou la réglementation. "
Le autocars compteront, en fonction des lignes, 49, 57 ou 74 sièges, espacés de 75 centimètres. Les voyageurs auront accès à une connexion wifi, à une prise électrique et bien sûr aux toilettes. Coté prix, la SNCF a voulu simplifier les choses, avec 3 ou 4 tarifs différents et un maximum de 30 euros par trajet.
Le groupe refuse de communiquer des objectifs précis en terme de nombre de clients, mais espère vendre au maximum les 4 millions de places disponibles en 2016. Les ex-iDBus affichaient déjà un taux d’occupation global de 75%, et même de 85% au mois d’août dernier.
