Le Paris Vintimille a été retardé de 4 heures suite à une attaque de parasites dans un des wagons.
Après leur départ de Vintimille, des passagers voyageant dans l'un des wagons se sont plaints de piqûres et d'irritations, selon les mêmes sources. Le train s'est arrêté en gare de Marseille Saint Charles pour inspection.
Selon divers témoignages des secours, les piqûres et irritations proviendraient de parasites, tiques, puces et punaises mais seraient sans danger pour l'organisme.
La SNCF a fait condamner le wagon en cause, a "reconstruit un horaire pour le train" et ce dernier est reparti vers 04H00 pour Paris où il est arrivé vers midi avec quatre heures de retard, selon la même source.
2e attaque du genre
80 voyageurs ont toutefois refusé de remonter à bord et ont emprunté le premier TGV pour Paris, à 05H30, "où il y avait une centaine de places de libres", a ajouté la SNCF.
Interrogé par la presse lors d'un déplacement à Bordeaux, le président de la SNCF Louis Gallois a présenté ses "excuses" aux passagers pour le retard occasionné, ajoutant qu'une "enquête" allait être ouverte.
"Il faut que nous identifiions la nature et la source de ces parasites", a indiqué M. Gallois, précisant que "c'est la seconde fois" qu'un train rencontrait ce type de problème.
Selon divers témoignages des secours, les piqûres et irritations proviendraient de parasites, tiques, puces et punaises mais seraient sans danger pour l'organisme.
La SNCF a fait condamner le wagon en cause, a "reconstruit un horaire pour le train" et ce dernier est reparti vers 04H00 pour Paris où il est arrivé vers midi avec quatre heures de retard, selon la même source.
2e attaque du genre
80 voyageurs ont toutefois refusé de remonter à bord et ont emprunté le premier TGV pour Paris, à 05H30, "où il y avait une centaine de places de libres", a ajouté la SNCF.
Interrogé par la presse lors d'un déplacement à Bordeaux, le président de la SNCF Louis Gallois a présenté ses "excuses" aux passagers pour le retard occasionné, ajoutant qu'une "enquête" allait être ouverte.
"Il faut que nous identifiions la nature et la source de ces parasites", a indiqué M. Gallois, précisant que "c'est la seconde fois" qu'un train rencontrait ce type de problème.