La compagnie Swiss a commandé neuf Boeing 777 pour renouveler sa flotte long courrier. DR Swiss.
Michael Gloor, le nouveau directeur France de la compagnie Swiss, a de beaux défis qui l'attendent.
Arrivé en avril dernier, l'homme va devoir gérer l'intégration de nombreux appareils dans la flotte de sa compagnie.
« L’année 2016 va être vraiment très intéressante et j’espère pouvoir offrir 10% de capacité supplémentaire sur le marché français » poursuit-il.
La compagnie doit en effet recevoir 30 nouveaux Bombardiers CS 100 de 124 à 145 places, qui viendront remplacer ses anciens Avro RJ100, comptant seulement 97 places. Elle va ainsi doubler ses capacités en court-courrier et mieux alimenter son hub de Zurich.
Son réseau long-courrier va également s’étoffer de nouveaux Boeing 777-300 de 340 places, dont les premiers arriveront en janvier 2016 pour remplacer les Airbus A340 de 219 sièges.
Une capacité additionnelle qui tombe à point, avec un taux d’occupation frisant les 90% sur certaines lignes long courrier.
Arrivé en avril dernier, l'homme va devoir gérer l'intégration de nombreux appareils dans la flotte de sa compagnie.
« L’année 2016 va être vraiment très intéressante et j’espère pouvoir offrir 10% de capacité supplémentaire sur le marché français » poursuit-il.
La compagnie doit en effet recevoir 30 nouveaux Bombardiers CS 100 de 124 à 145 places, qui viendront remplacer ses anciens Avro RJ100, comptant seulement 97 places. Elle va ainsi doubler ses capacités en court-courrier et mieux alimenter son hub de Zurich.
Son réseau long-courrier va également s’étoffer de nouveaux Boeing 777-300 de 340 places, dont les premiers arriveront en janvier 2016 pour remplacer les Airbus A340 de 219 sièges.
Une capacité additionnelle qui tombe à point, avec un taux d’occupation frisant les 90% sur certaines lignes long courrier.
La compagnie cherche un nouvel aéroport en France
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Ces nouveaux appareils permettront notamment à Swiss de s’implanter dans un nouvel aéroport français, certainement du coté du bassin méditerranéen.
Présente à Paris, à Lyon, à Nice, elle a inauguré une ligne entre Toulouse et Zurich en mai dernier.
Ses trois autres destinations saisonnières sur Ajaccio, Biarritz et Calvi ont été un succès avec des avions qui ont fait le plein.
Michael Gloor souhaiterait également développer la notoriété de sa compagnie loisir, Edelweiss, qui va récupérer les anciens Airbus A 340 pour étoffer sa flotte et ouvrir de nouvelles destinations loisirs long courrier.
Toutes ces nouveautés devraient lui permettre de progresser en France, son second marché après l’Allemagne.
En effet, selon les chiffres la DGAC, Swiss n’a transporté que 1.233 million de passagers en 2014, contre 1.265 million en 2013. Des données que refuse de confirmer Michael Gloor, préférant parler de l’excellent taux occupation du premier semestre, en progression de 5%.
Il faut dire qu’au global, Swiss se porte plutôt bien, avec un bénéfice opérationnel de 214 millions de francs au premier semestre, en hausse de 87%.
Un rebond qui s’explique essentiellement par la chute du prix du carburant. « Si les compagnies ne gagnent pas d’argent avec un prix du baril aussi bas, elles n’en gagneront jamais » s’exclame Michael Gloor.
Présente à Paris, à Lyon, à Nice, elle a inauguré une ligne entre Toulouse et Zurich en mai dernier.
Ses trois autres destinations saisonnières sur Ajaccio, Biarritz et Calvi ont été un succès avec des avions qui ont fait le plein.
Michael Gloor souhaiterait également développer la notoriété de sa compagnie loisir, Edelweiss, qui va récupérer les anciens Airbus A 340 pour étoffer sa flotte et ouvrir de nouvelles destinations loisirs long courrier.
Toutes ces nouveautés devraient lui permettre de progresser en France, son second marché après l’Allemagne.
En effet, selon les chiffres la DGAC, Swiss n’a transporté que 1.233 million de passagers en 2014, contre 1.265 million en 2013. Des données que refuse de confirmer Michael Gloor, préférant parler de l’excellent taux occupation du premier semestre, en progression de 5%.
Il faut dire qu’au global, Swiss se porte plutôt bien, avec un bénéfice opérationnel de 214 millions de francs au premier semestre, en hausse de 87%.
Un rebond qui s’explique essentiellement par la chute du prix du carburant. « Si les compagnies ne gagnent pas d’argent avec un prix du baril aussi bas, elles n’en gagneront jamais » s’exclame Michael Gloor.
Surcharge GDS : Pas d’impact sur les ventes ?
Michael Gloor assure que la mise en place de la surcharge de 16 euros pour toute réservation GDS n’a pour le moment eu aucune conséquence sur l’activité.
Pourtant, certaines sources estiment que les réservations du groupe Lufthansa ont chuté de 25%, alors qu’elles avaient été en hausse au mois d’août.
Les vendeurs se sont-ils dépêchés d’acheter pour économiser 16 euros ? Réponse à la fin du mois de septembre, avec les chiffres du BSP.
Pourtant, certaines sources estiment que les réservations du groupe Lufthansa ont chuté de 25%, alors qu’elles avaient été en hausse au mois d’août.
Les vendeurs se sont-ils dépêchés d’acheter pour économiser 16 euros ? Réponse à la fin du mois de septembre, avec les chiffres du BSP.
