Suite à la condamnation de Castellane Voyages Sud dans l'affaire qui l'oppose, avec FRAM et la compagnie aérienne Hermès, à 22 touristes sourds et malentendants qui s'étaient vus refuser d'embarquer sur un vol à Marignane, la direction du tour-opérateur livre ses réactions.
Le voyagiste est évidemment soulagé de la décision du tribunal de grande instance (TGI) de Marseille, mais regrette, pour son image, d'avoir été associé à cet événement.
D'autant plus que "chaque année, FRAM fait voyager plus de 3 000 personnes handicapées, explique Georges Vialard, directeur de la production.
Nous ne pouvons donc que regretter que ces 22 personnes n'aient pu embarquer vers la Turquie. Nous leur avons proposé de partir sur un autre vol le soir-même depuis Lyon. Mais, très déçus, ils ont refusé."
Le TO maintient ne pas avoir été prévenu par l'agence du handicap sensoriel de ces clients. Ce qui l'a empêché d'en informer le transporteur comme le prévoit le règlement européen en la matière.
"Dans ce cas de figure, nous travaillons en BtoB. Ce sont les agents de voyages qui sont en contact avec la clientèle. Ils doivent donc nous mettre au courant d'un éventuel handicap afin que nous prévenions la compagnie", estime Georges Vialard.
Il ajoute qu'il s'agit d'un "cas très rare. Une première à [sa] connaissance."
Du côté de l'agence de voyages condamnée, silence radio. Sa direction se déclare uniquement "abasourdie par cette décision" sur le site Marsactu.fr mais se refuse à ajouter tout autre commentaire. Contactée par TourMaG.com, elle refuse de dire s'il elle envisage ou non de faire appel.
Le voyagiste est évidemment soulagé de la décision du tribunal de grande instance (TGI) de Marseille, mais regrette, pour son image, d'avoir été associé à cet événement.
D'autant plus que "chaque année, FRAM fait voyager plus de 3 000 personnes handicapées, explique Georges Vialard, directeur de la production.
Nous ne pouvons donc que regretter que ces 22 personnes n'aient pu embarquer vers la Turquie. Nous leur avons proposé de partir sur un autre vol le soir-même depuis Lyon. Mais, très déçus, ils ont refusé."
Le TO maintient ne pas avoir été prévenu par l'agence du handicap sensoriel de ces clients. Ce qui l'a empêché d'en informer le transporteur comme le prévoit le règlement européen en la matière.
"Dans ce cas de figure, nous travaillons en BtoB. Ce sont les agents de voyages qui sont en contact avec la clientèle. Ils doivent donc nous mettre au courant d'un éventuel handicap afin que nous prévenions la compagnie", estime Georges Vialard.
Il ajoute qu'il s'agit d'un "cas très rare. Une première à [sa] connaissance."
Du côté de l'agence de voyages condamnée, silence radio. Sa direction se déclare uniquement "abasourdie par cette décision" sur le site Marsactu.fr mais se refuse à ajouter tout autre commentaire. Contactée par TourMaG.com, elle refuse de dire s'il elle envisage ou non de faire appel.
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