La compagnie grecque Olympic Airlines (OA) a nié samedi toute négligence dans l'affrètement de l'appareil. OA considère
Selon un journaliste de l'AFP présent dans l'appareil, "l'avion, qui transportait 233 passagers, avait dû "faire demi-tour à toute vitesse, vraisemblablement à cause d'un problème moteur, le retour s'est fait à une vitesse vertigineuse".
Il a parlé d'une "odeur de brûlé" au moment du décollage, expliquant que l'avion, qui "n'arrivait plus à monter", avait finalement rebroussé chemin.
Morceau de scotch pour fixer les parois !
Les passagers avaient refusé une première fois en début d'après-midi de partir dans l'avion, "vieux et sale", comportant des "morceaux de scotch pour fixer les parois" à l'intérieur de l'appareil et dont la soute à bagages avait dû être fermée "à grand bruit", selon le journaliste.
Au bout d'une heure d'attente, des agents de l'aéroport sont revenus voir les passagers en leur assurant que l'appareil était "prêt à voler" et la grande majorité ont accepté de repartir.
Les voyageurs ont patienté pendant deux heures dans l'appareil avant qu'il ne décolle et ne connaisse une avarie le forçant à effectuer, selon les termes du chef d'escale, "un atterrissage d'urgence".
La compagnie grecque Olympic Airlines (OA) a nié samedi toute négligence dans l'affrètement de l'appareil. OA considère "qu'elle a suivi toutes les procédures requises" pour cette location, a indiqué une porte-parole.
La compagnie a par ailleurs "annulé dès lundi" son contrat de sous-traitance avec la compagnie propriétaire de l'appareil, qui avait déjà volé pour elle, a-t-il été précisé.
Interdit de territoire britannique
L'appareil de type Lockheed TriStar a été affrété auprès de la compagnie StarJet immatriculée aux Emirats Arabes Unis.
Il était précédemment exploité, sous une immatriculation différente, par une compagnie de Sierra Leone (...) interdite sur le territoire britannique et qui avait fait l'objet d'une mise sous contrôle renforcé par les autorités françaises.
Olympic Airlines a indiqué qu'elle "avait reçu l'approbation des services grecs de l'aviation civile" pour la location de l'appareil, et a estimé que la panne survenue rentrait "dans le cadre du fonctionnement" des transports aériens.
Le syndicat des pilotes d'OA avait dénoncé mardi le recours par la compagnie à des avions étrangers "de provenance inconnue", faute de programmation correcte des dessertes estivales sur fond de privatisation en cours.
Le ministère grec des Transports a indiqué samedi qu'il était dans l'attente d'une information d'OA sur cette affaire.
Il a parlé d'une "odeur de brûlé" au moment du décollage, expliquant que l'avion, qui "n'arrivait plus à monter", avait finalement rebroussé chemin.
Morceau de scotch pour fixer les parois !
Les passagers avaient refusé une première fois en début d'après-midi de partir dans l'avion, "vieux et sale", comportant des "morceaux de scotch pour fixer les parois" à l'intérieur de l'appareil et dont la soute à bagages avait dû être fermée "à grand bruit", selon le journaliste.
Au bout d'une heure d'attente, des agents de l'aéroport sont revenus voir les passagers en leur assurant que l'appareil était "prêt à voler" et la grande majorité ont accepté de repartir.
Les voyageurs ont patienté pendant deux heures dans l'appareil avant qu'il ne décolle et ne connaisse une avarie le forçant à effectuer, selon les termes du chef d'escale, "un atterrissage d'urgence".
La compagnie grecque Olympic Airlines (OA) a nié samedi toute négligence dans l'affrètement de l'appareil. OA considère "qu'elle a suivi toutes les procédures requises" pour cette location, a indiqué une porte-parole.
La compagnie a par ailleurs "annulé dès lundi" son contrat de sous-traitance avec la compagnie propriétaire de l'appareil, qui avait déjà volé pour elle, a-t-il été précisé.
Interdit de territoire britannique
L'appareil de type Lockheed TriStar a été affrété auprès de la compagnie StarJet immatriculée aux Emirats Arabes Unis.
Il était précédemment exploité, sous une immatriculation différente, par une compagnie de Sierra Leone (...) interdite sur le territoire britannique et qui avait fait l'objet d'une mise sous contrôle renforcé par les autorités françaises.
Olympic Airlines a indiqué qu'elle "avait reçu l'approbation des services grecs de l'aviation civile" pour la location de l'appareil, et a estimé que la panne survenue rentrait "dans le cadre du fonctionnement" des transports aériens.
Le syndicat des pilotes d'OA avait dénoncé mardi le recours par la compagnie à des avions étrangers "de provenance inconnue", faute de programmation correcte des dessertes estivales sur fond de privatisation en cours.
Le ministère grec des Transports a indiqué samedi qu'il était dans l'attente d'une information d'OA sur cette affaire.