La cohérence, voilà le maître mot de la promotion et du développement touristique de l’Île de Beauté, mis en œuvre par l’Agence de tourisme de la Corse (ATC).
Présidée par Antoine Giorgi et dirigée par Daniel Charavin (son Dg), l’ATC est un établissement public qui réunit toutes les compétences en matières de promotion, d’observation, d’ingénierie, de développement et de coordination du tourisme.
Dans ce domaine la Corse a indiscutablement pris une longueur d’avance sur ses concurrentes continentales.
L’ATC dispose d’un budget annuel de 15 millions d’€, dont 4 millions consacrés à la promotion de l’île (affichage, édition, Internet…) sur les marchés émetteurs, mais aussi en Corse.
Présidée par Antoine Giorgi et dirigée par Daniel Charavin (son Dg), l’ATC est un établissement public qui réunit toutes les compétences en matières de promotion, d’observation, d’ingénierie, de développement et de coordination du tourisme.
Dans ce domaine la Corse a indiscutablement pris une longueur d’avance sur ses concurrentes continentales.
L’ATC dispose d’un budget annuel de 15 millions d’€, dont 4 millions consacrés à la promotion de l’île (affichage, édition, Internet…) sur les marchés émetteurs, mais aussi en Corse.
Rappeler aux Corses les enjeux du tourisme
« Il est essentiel de communiquer en interne », insiste Daniel Charavin.
« Pour la première fois, nous avons initié une campagne de communication à l’attention des Corses eux-mêmes pour leur rappeler les enjeux du tourisme ».
Et ces enjeux sont considérables pour une île qui compte 300.000 habitants.
Avec 2,7 millions de séjours par an, le tourisme y génère 15% du PIB (selon les normes INSEE) et 30% de la consommation.
Cet apport essentiel au développement économique progresse de 4 à 5% par an depuis une dizaine d’années, chiffre qui devrait être atteint et dépassé en 2009 avec les affluences records de juillet et août (+9% et +8%).
Reste que la destination souffre d'un parc hôtelier modeste de 20.000 chambres (dont seulement 2.000 en haute catégorie), contre 60.000 places de camping.
« Pour la première fois, nous avons initié une campagne de communication à l’attention des Corses eux-mêmes pour leur rappeler les enjeux du tourisme ».
Et ces enjeux sont considérables pour une île qui compte 300.000 habitants.
Avec 2,7 millions de séjours par an, le tourisme y génère 15% du PIB (selon les normes INSEE) et 30% de la consommation.
Cet apport essentiel au développement économique progresse de 4 à 5% par an depuis une dizaine d’années, chiffre qui devrait être atteint et dépassé en 2009 avec les affluences records de juillet et août (+9% et +8%).
Reste que la destination souffre d'un parc hôtelier modeste de 20.000 chambres (dont seulement 2.000 en haute catégorie), contre 60.000 places de camping.
Des chèques-cadeaux de 500 € remis aux AGV
Outre la communication, une meilleure desserte aérienne de l’île a tiré sa fréquentation.
« Les compagnies low cost (notamment Ryanair et easyJet) ont compensé le désengagement d’Air France qui a proposé moins de sièges en 2009 qu’en 2008 », constate un brin ironique Antoine Giorgi.
Présente à l’IFTM/Top Résa, l’Agence de tourisme de la Corse remettra des chèques-cadeaux de 500€ (quand même !) aux 30 agents de voyages qui ont le mieux vendu l’Île de Beauté au premier semestre 2009. Comme quoi, vendre la France s’avère payant !
« Les compagnies low cost (notamment Ryanair et easyJet) ont compensé le désengagement d’Air France qui a proposé moins de sièges en 2009 qu’en 2008 », constate un brin ironique Antoine Giorgi.
Présente à l’IFTM/Top Résa, l’Agence de tourisme de la Corse remettra des chèques-cadeaux de 500€ (quand même !) aux 30 agents de voyages qui ont le mieux vendu l’Île de Beauté au premier semestre 2009. Comme quoi, vendre la France s’avère payant !
