IDTGV a 8 ans et toutes ses dents.
Avec 4,2 millions de passagers, un chiffre d’affaires de 220 M€, entre 30 et 40 trains quotidiens, près de 40 villes desservies, Paul Sessego, son directeur général et ses 60 collaborateurs en profitent pour croquer dans la vie avec plaisir.
« En 2012, le taux de remplissage frise les 90% et nos clients sont satisfaits à 89% », annonce enthousiaste le directeur général, pour qui ses résultats valident pleinement le concept du train à la fois « boite à idées » de la SNCF et 100% internet.
Après s’être entièrement repositionné, courant 2012, sur les trajets de plus de 3 heures, IDTGV aborde donc 2013 avec un florilège de nouveautés.
Avec 4,2 millions de passagers, un chiffre d’affaires de 220 M€, entre 30 et 40 trains quotidiens, près de 40 villes desservies, Paul Sessego, son directeur général et ses 60 collaborateurs en profitent pour croquer dans la vie avec plaisir.
« En 2012, le taux de remplissage frise les 90% et nos clients sont satisfaits à 89% », annonce enthousiaste le directeur général, pour qui ses résultats valident pleinement le concept du train à la fois « boite à idées » de la SNCF et 100% internet.
Après s’être entièrement repositionné, courant 2012, sur les trajets de plus de 3 heures, IDTGV aborde donc 2013 avec un florilège de nouveautés.
Un service « porte à porte »

Paul Sessego, directeur général d'IDTGV - DR
Pour la petite bouche, il y a d’abord l’ouverture d’une liaison sur Quimper, pour relier la Bretagne sud, et le renforcement des dessertes sur Marseille et Nice, avec 3 ou 4 trains par jour.
Mais, pour l’essentiel, c’est dans les services que ça va se passer.
En 2013, IDTGV proposera désormais du « porte à porte » en développant une offre intermodale avec les bus de Transaltitude, les bateaux de la SNCM et les voitures avec chauffeur de Navendis.
Pour commencer, cette offre sera disponible au départ de Paris vers 6 destinations de montagne, l’Alpe-d’Huez, les 2-Alpes, Chamrousse, Serre Chevaliers, La Grave et Briançon, et sur des destinations plus estivales, comme l’île de Ré, le Cap ferret et Lacanau.
Pour un surcoût de 19 à 40 €, le client sera pris en charge dès son domicile puis, à la descente du train, un bus se chargera de le mener à destination.
« Si l’on part du tarif d’appel, on pourra ainsi partir skier aux 2-Alpes pour moins de 50 € tout compris, » précise Marie-Dominique Lacroix, la directrice marketing d’IDTGV.
Mais, pour l’essentiel, c’est dans les services que ça va se passer.
En 2013, IDTGV proposera désormais du « porte à porte » en développant une offre intermodale avec les bus de Transaltitude, les bateaux de la SNCM et les voitures avec chauffeur de Navendis.
Pour commencer, cette offre sera disponible au départ de Paris vers 6 destinations de montagne, l’Alpe-d’Huez, les 2-Alpes, Chamrousse, Serre Chevaliers, La Grave et Briançon, et sur des destinations plus estivales, comme l’île de Ré, le Cap ferret et Lacanau.
Pour un surcoût de 19 à 40 €, le client sera pris en charge dès son domicile puis, à la descente du train, un bus se chargera de le mener à destination.
« Si l’on part du tarif d’appel, on pourra ainsi partir skier aux 2-Alpes pour moins de 50 € tout compris, » précise Marie-Dominique Lacroix, la directrice marketing d’IDTGV.
Une nouvelle restauration « sans concession »
Autres articles
-
Sabre : premier GDS à distribuer Ouigo 🔑
-
Eté 2024 : les billets TGV INOUI, OUIGO et Intercités en vente dès le 13 mars
-
Billets de train : les distributeurs réclament une concurrence équitable
-
SNCF : Magali Patay nommée directrice du cabinet de Jean-Pierre Farandou
-
Grève SNCF : des perturbations à prévoir pour Noël
Sur la Corse, le client aura le choix entre Ajaccio et Bastia au départ de Marseille. La traversée lui coûtera 41,5 € par personne, mais il pourra aussi prendre une option cabine avec douche pour 1 à 4 pax, au prix unique de 40€.
L’autre grande nouveauté 2013, c’est la fin du système de concession dans la restauration de bord.
À partir du 1er avril, ça ne s’invente pas, Cœur de blé, un spécialiste du snack, filiale de Casino Restauration, prendra le relais de Crémonini dans tous les wagons-bars du train et proposera un menu plus adapté aux horaires du train.
En s’appuyant sur le maillage territorial de ce nouveau prestataire, IDTGV veut faire du 100% frais sur toute la carte et assurer un service à la place, soit par la prévente en ligne soit par simple SMS.
« Avec cette offre, c’est la fin du célèbre sandwich SNCF » prévient Paul Sessego, « Nous voulons que les gens retrouvent le plaisir de manger à bord. »
L’autre grande nouveauté 2013, c’est la fin du système de concession dans la restauration de bord.
À partir du 1er avril, ça ne s’invente pas, Cœur de blé, un spécialiste du snack, filiale de Casino Restauration, prendra le relais de Crémonini dans tous les wagons-bars du train et proposera un menu plus adapté aux horaires du train.
En s’appuyant sur le maillage territorial de ce nouveau prestataire, IDTGV veut faire du 100% frais sur toute la carte et assurer un service à la place, soit par la prévente en ligne soit par simple SMS.
« Avec cette offre, c’est la fin du célèbre sandwich SNCF » prévient Paul Sessego, « Nous voulons que les gens retrouvent le plaisir de manger à bord. »
Bonjour la DigiTab
Enfin, pour clore le triptyque 2013, IDTGV lance sa DigiTab, une tablette « loisirs » Toshiba, avec des films, des jeux, de la musique, de la radio, de la presse…
Bref, à 10€ le trajet, il y en pour tous les goûts, et les partenaires du train, Warner, RTL, Viapresse ou TV5Monde, sont assez prestigieux pour donner une idée précise de la qualité des programmes.
Zen ou Zap, le passager d’IDTGV devrait réellement apprécier la saison 2013, et on se demande pourquoi le grand frère TGV ne se sert pas davantage de sa boite à idées.
Bref, à 10€ le trajet, il y en pour tous les goûts, et les partenaires du train, Warner, RTL, Viapresse ou TV5Monde, sont assez prestigieux pour donner une idée précise de la qualité des programmes.
Zen ou Zap, le passager d’IDTGV devrait réellement apprécier la saison 2013, et on se demande pourquoi le grand frère TGV ne se sert pas davantage de sa boite à idées.