Les participantes de l'Eductour posent au sommet du belvédère de Moorea qui offre une vue panoramique sur baies d'Opunohu et de Cook.
Papeete, Moorea et Bora Bora : autant de noms enchanteurs sur un programme d’Eductour : de quoi faire des jaloux !
Il est vrai que les dix agents AS Voyages qui ont découvert cette région paradisiaque pendant une semaine ont eu beaucoup de chance.
Entre visites d’hôtels, farniente sur la plage, balade dans la montagne et plongée avec les requins, elles ( il n’y avait que des dames ) ont pu expérimenter toutes les facettes de la destination.
Désormais vendre un séjour pour la Polynésie ne leur fait plus peur.
Lointaine et mythique, cet archipel est souvent considéré comme difficile à vendre. Tout d’abord parce que c’est une destination de célébration.
On vient ici fêter un mariage ou un anniversaire. Le voyage d’un vie que les clients, pour majorité des couples, ne veulent pas rater.
Autre frein, l’aérien. « Je ne voyais pas l’intérêt de subir 22 heures de vol pour avoir la même chose qu’aux Maldives » explique Ludivine Mercier de GR tourisme à Paris. « Mais grâce à ce séjour, j’ai désormais tous les arguments pour contrer cette objection » assure-t-elle.
Il est vrai que les dix agents AS Voyages qui ont découvert cette région paradisiaque pendant une semaine ont eu beaucoup de chance.
Entre visites d’hôtels, farniente sur la plage, balade dans la montagne et plongée avec les requins, elles ( il n’y avait que des dames ) ont pu expérimenter toutes les facettes de la destination.
Désormais vendre un séjour pour la Polynésie ne leur fait plus peur.
Lointaine et mythique, cet archipel est souvent considéré comme difficile à vendre. Tout d’abord parce que c’est une destination de célébration.
On vient ici fêter un mariage ou un anniversaire. Le voyage d’un vie que les clients, pour majorité des couples, ne veulent pas rater.
Autre frein, l’aérien. « Je ne voyais pas l’intérêt de subir 22 heures de vol pour avoir la même chose qu’aux Maldives » explique Ludivine Mercier de GR tourisme à Paris. « Mais grâce à ce séjour, j’ai désormais tous les arguments pour contrer cette objection » assure-t-elle.
Sommaire
Page 2 : Trop de luxe ?
Page 3 : Une destination préservée
Page 4 : Une diversité méconnue
Page 3 : Une destination préservée
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