Le parcours de Jean-Michel Juloux
Jean-Michel Juloux, directeur de Savanna Tours, au départ de l'éductour
L’homme a fait ses débuts comme ingénieur en électromécanique, à la centrale de Fessenheim en particulier, mais a vite ressenti le besoin d’évoluer.
Entré comme commercial chez Jet Evasions, filiale du Crédit Mutuel, il se retrouve dehors quand la banque menace d’être nationalisée en 81. Il a 35 ans, c’est l’âge de créer sa propre entreprise.
Il se lance dans la représentation d’hôtels à Ténérife et de parcs de loisirs en Hollande. Accompagnateur occasionnel, il participe au premier Mitcar et développe sa connaissance du marché groupes et autocaristes.
En 84, on lui demande un groupe sur le Kenya. A l’époque, c’est un peu la chasse gardée d’Irvin Rosenthal. Pas question pour notre bonhomme formé à l’école de Tourisme et Travail ! Il emmène le groupe au Bénin à la place, et tombe fou amoureux de l’Afrique.
« J’étais Tintin au Congo ! J’ai ouvert les autres destinations au fur et à mesure pour garder la clientèle. » Le coup de chance, c’est la fin de l’apartheid en 95.
« J’étais présent alors en Afrique du Sud en tant que vice-président de la Maison de l’Afrique. Mandela voulait pousser les femmes en avant. J’ai créé la société immédiatement avec deux d’entre elles, et c’est aujourd’hui mon premier marché, celui qui finance le reste. »
Cela fait 26 ans maintenant, et Jean-Michel est toujours amoureux de l’Afrique, même si sa base personnelle est en Belgique, où vit sa femme, son autre amour.
Entré comme commercial chez Jet Evasions, filiale du Crédit Mutuel, il se retrouve dehors quand la banque menace d’être nationalisée en 81. Il a 35 ans, c’est l’âge de créer sa propre entreprise.
Il se lance dans la représentation d’hôtels à Ténérife et de parcs de loisirs en Hollande. Accompagnateur occasionnel, il participe au premier Mitcar et développe sa connaissance du marché groupes et autocaristes.
En 84, on lui demande un groupe sur le Kenya. A l’époque, c’est un peu la chasse gardée d’Irvin Rosenthal. Pas question pour notre bonhomme formé à l’école de Tourisme et Travail ! Il emmène le groupe au Bénin à la place, et tombe fou amoureux de l’Afrique.
« J’étais Tintin au Congo ! J’ai ouvert les autres destinations au fur et à mesure pour garder la clientèle. » Le coup de chance, c’est la fin de l’apartheid en 95.
« J’étais présent alors en Afrique du Sud en tant que vice-président de la Maison de l’Afrique. Mandela voulait pousser les femmes en avant. J’ai créé la société immédiatement avec deux d’entre elles, et c’est aujourd’hui mon premier marché, celui qui finance le reste. »
Cela fait 26 ans maintenant, et Jean-Michel est toujours amoureux de l’Afrique, même si sa base personnelle est en Belgique, où vit sa femme, son autre amour.