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Sommaire :
Les professionnels des métiers de bouche réunis à Furiani
Les ruches sont vides : le cri d’alerte des apiculteurs corses
Une dose limitée de vaccin du COVID-19 désormais accessible à tous
meute, révolte, insurrection ou le pouvoir de nommer les événements
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Les professionnels des métiers de bouche réunis à Furiani
Les ruches sont vides : le cri d’alerte des apiculteurs corses
Une dose limitée de vaccin du COVID-19 désormais accessible à tous
meute, révolte, insurrection ou le pouvoir de nommer les événements
Les professionnels des métiers de bouche réunis à Furiani
Pour la première fois depuis avril 2019, les professionnels des métiers de bouche se sont retrouvés pour échanger pendant toute une journée dans le salon du stade. Des croissants, des pains au chocolat, des gâteaux, des pizzas et des baguettes sont à perte de vue.
Stéphanie Bruneau
Pour Stéphanie Bruneau (directrice des achats chez Diffusion insulaire alimentaire), organisatrice de l’événement, cette rencontre a précisément trois objectifs. Il s’agit de renouer le dialogue avec l’ensemble des professionnels, proposer des nouveautés et porter de l’aide aux acteurs du secteur, frappés par la crise sanitaire du Covid au cours de ces deux dernières années.
C’est également une occasion pour certains exposants de montrer leur savoir-faire. Cette année, 29 exposants sont présents à cette journée. Malgré les problèmes, le secteur reste tout de même extrêmement motivé à l’idée de repartir de l’avant.
Comme le souligne Stéphanie Bruneau « ils ont été stoppés pendant deux ans. Aujourd’hui, on ressent un certain engouement chez les industriels, tout comme chez les clients ».
Parmi les exposants, figure l’entreprise CSM ingrédients, leader international de l’industrie de la boulangerie-pâtisserie. Malgré son statut, il n’échappe pas aux nouveautés de son secteur. Il est obligé de s’accommoder aux nouveaux marchés.
Ainsi, on assiste à un développement massif du marché végan. On note aussi une évolution des habitudes alimentaires de la population, engendrée par la crise sanitaire. Le snacking par exemple est en hausse. « Cela est lié au fait que les restaurants aient été fermés pendant des mois », a déclaré Christophe Chastenet, chef de région CSM.
Autre évolution très louée par les restaurateurs et les boulangeries est l’emploi de produits ménagers éco certifiés ou biodégradables. « Ces produits étaient principalement prisés par les collectivités ou les écoles, mais de plus en plus de professionnels de la restauration ou des métiers de bouche sont devenus des adeptes », explique Frédérique Devaud, responsable du secteur sud-ouest chez Prosens (Entreprise spécialisée dans les produits d’entretien écologique).
Alors que la saison touristique s’annonce très bien, cette journée aura son importance après deux années marquées par le coronavirus. Néanmoins, les professionnels des métiers de bouche sont plus que jamais motivés pour relancer tout le secteur sur le droit chemin.
Stéphanie Bruneau
Pour Stéphanie Bruneau (directrice des achats chez Diffusion insulaire alimentaire), organisatrice de l’événement, cette rencontre a précisément trois objectifs. Il s’agit de renouer le dialogue avec l’ensemble des professionnels, proposer des nouveautés et porter de l’aide aux acteurs du secteur, frappés par la crise sanitaire du Covid au cours de ces deux dernières années.
C’est également une occasion pour certains exposants de montrer leur savoir-faire. Cette année, 29 exposants sont présents à cette journée. Malgré les problèmes, le secteur reste tout de même extrêmement motivé à l’idée de repartir de l’avant.
Comme le souligne Stéphanie Bruneau « ils ont été stoppés pendant deux ans. Aujourd’hui, on ressent un certain engouement chez les industriels, tout comme chez les clients ».
Parmi les exposants, figure l’entreprise CSM ingrédients, leader international de l’industrie de la boulangerie-pâtisserie. Malgré son statut, il n’échappe pas aux nouveautés de son secteur. Il est obligé de s’accommoder aux nouveaux marchés.
Ainsi, on assiste à un développement massif du marché végan. On note aussi une évolution des habitudes alimentaires de la population, engendrée par la crise sanitaire. Le snacking par exemple est en hausse. « Cela est lié au fait que les restaurants aient été fermés pendant des mois », a déclaré Christophe Chastenet, chef de région CSM.
Autre évolution très louée par les restaurateurs et les boulangeries est l’emploi de produits ménagers éco certifiés ou biodégradables. « Ces produits étaient principalement prisés par les collectivités ou les écoles, mais de plus en plus de professionnels de la restauration ou des métiers de bouche sont devenus des adeptes », explique Frédérique Devaud, responsable du secteur sud-ouest chez Prosens (Entreprise spécialisée dans les produits d’entretien écologique).
Alors que la saison touristique s’annonce très bien, cette journée aura son importance après deux années marquées par le coronavirus. Néanmoins, les professionnels des métiers de bouche sont plus que jamais motivés pour relancer tout le secteur sur le droit chemin.
Plage de Pinia - Corse - Instagram © @manue2a_corsica
Les ruches sont vides : le cri d’alerte des apiculteurs corses
Les représentants du syndicat AOP Miel de Corse-Mele di Corsica, de l’Union régionale des groupements de défense sanitaire apicole de Corse (URGDSAC) et de nombreux apiculteurs venus de toute l’île ont fait une conférence de presse ce vendredi 8 avril 2022. Cette dernière est portée sur l’exploitation Au Jardin des abeilles, dans la commune d’Ocana.
Ils annoncent qu’en ce début de printemps, les ruches sont vides. Il n’y existe plus de miel, les colonies sont exsangues et en mauvaise santé. Ceci annonce une année dramatique pour la profession. Ils rappellent également les dégradations de la situation et l’effondrement des productions observées en 2012.
Ses travailleurs sont confrontés à un nouveau désastre lié à une année 2021 et un début 2022 très sec, et le risque de perdre leur activité et leur filière dynamique qui compte une centaine de professionnels.
A lire aussi : Voyage en Corse, les formalités, les activités
Pour cela, les apiculteurs et les agriculteurs sans terre et ne disposant pas d’aide à la surface ont lancé un appel solennel aux responsables de la Collectivité de Corse et plus précisément de l’Odarc. Ils souhaitent en effet obtenir une aide d’urgence pour franchir cette année. Cette aide leur permettra également à mettre en place des mesures de soutien pérennes pour sauvegarder la filière.
Ils annoncent qu’en ce début de printemps, les ruches sont vides. Il n’y existe plus de miel, les colonies sont exsangues et en mauvaise santé. Ceci annonce une année dramatique pour la profession. Ils rappellent également les dégradations de la situation et l’effondrement des productions observées en 2012.
Ses travailleurs sont confrontés à un nouveau désastre lié à une année 2021 et un début 2022 très sec, et le risque de perdre leur activité et leur filière dynamique qui compte une centaine de professionnels.
A lire aussi : Voyage en Corse, les formalités, les activités
Pour cela, les apiculteurs et les agriculteurs sans terre et ne disposant pas d’aide à la surface ont lancé un appel solennel aux responsables de la Collectivité de Corse et plus précisément de l’Odarc. Ils souhaitent en effet obtenir une aide d’urgence pour franchir cette année. Cette aide leur permettra également à mettre en place des mesures de soutien pérennes pour sauvegarder la filière.
Occi, Corse - Instagram © @raphael.megard
Une dose limitée de vaccin du COVID-19 désormais accessible à tous
Le nombre de contaminations au Covid-19 est élevé en Corse ainsi que sur l’ensemble du territoire national. Le gouvernement a donc décidé une nouvelle stratégie vaccinale en ouvrant la campagne du second rappel, l’équivalent d’une quatrième injection aux personnes âgées de 60 à 79 ans avec ou sans comorbidité.
L’avis émis par la Haute autorité de santé (HAS) et le Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale a été mis en application sur le terrain. L’objectif de cette mesure est de protéger les personnes de plus de 60 ans contre les formes graves de la maladie.
En effet, plus le temps passe et plus l’immunité conférée par le premier rappel diminue. Toutes les personnes se retrouvant dans cette tranche d’âge peuvent recevoir leur deuxième dose de rappel dès 6 mois après l’injection de premier rappel ou dès 6 mois après la dernière infection.
Comme d’habitude, il y a des exceptions à la règle initiale. Pour cette fois, il s’agit du cas spécifique des personnes infectées par le Covid après leur premier rappel qui a été retenu. Ainsi, celles qui ont été infectées après le premier rappel pourront se passer du second rappel.
Par ailleurs, les personnes qui ont eu le Covid moins de trois mois après leur rappel ont tout intérêt à tendre de nouveau le bras pour recevoir une nouvelle dose. Dans ce cas, il est préférable d’attendre au moins 6 mois pour recevoir un deuxième rappel.
Pour les plus fragiles, c’est-à-dire les personnes de 80 ans résidants en Ehpad, le délai entre le premier et le deuxième rappel est fixé à trois mois. Ce délai est également valable pour les personnes en Unité de soins longue durée et les personnes immunodéprimées.
L’avis émis par la Haute autorité de santé (HAS) et le Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale a été mis en application sur le terrain. L’objectif de cette mesure est de protéger les personnes de plus de 60 ans contre les formes graves de la maladie.
En effet, plus le temps passe et plus l’immunité conférée par le premier rappel diminue. Toutes les personnes se retrouvant dans cette tranche d’âge peuvent recevoir leur deuxième dose de rappel dès 6 mois après l’injection de premier rappel ou dès 6 mois après la dernière infection.
Comme d’habitude, il y a des exceptions à la règle initiale. Pour cette fois, il s’agit du cas spécifique des personnes infectées par le Covid après leur premier rappel qui a été retenu. Ainsi, celles qui ont été infectées après le premier rappel pourront se passer du second rappel.
Par ailleurs, les personnes qui ont eu le Covid moins de trois mois après leur rappel ont tout intérêt à tendre de nouveau le bras pour recevoir une nouvelle dose. Dans ce cas, il est préférable d’attendre au moins 6 mois pour recevoir un deuxième rappel.
Pour les plus fragiles, c’est-à-dire les personnes de 80 ans résidants en Ehpad, le délai entre le premier et le deuxième rappel est fixé à trois mois. Ce délai est également valable pour les personnes en Unité de soins longue durée et les personnes immunodéprimées.
Émeute, révolte, insurrection ou le pouvoir de nommer les événements
Tout comme dans les médias ou sur les réseaux sociaux, les événements de violence de rue en Corse sont devenus une affaire normale. Casseurs pour les uns, révoltés pour les autres, tous participent à cette violence en Corse.
● Les casseurs
À part quelques dégâts collatéraux à déplorer, comme la salle d’un restaurant endommagée à Ajaccio le 3 avril dernier, les vives actions engagées n’ont pas donné lieu aux habituelles scènes de pillage souvent constaté dans d’autres villes. Cette violence s’exerce essentiellement dans une confrontation entre manifestants et forces de l’ordre. La question politique est au centre de cette mobilisation, même si un important facteur émotionnel constitue le début.
● Les révoltés
La révolte est une action généralement collective, de manifestation contre l’autorité établie (pas nécessairement un gouvernement).
Napoléon Bonaparte l’explique dans une citation célèbre, qui étrangement inspire encore aujourd’hui le nationalisme corse. Celle-ci dit : « à tout peuple conquis, il faut une révolution ». De plus, Jean-Paul Delevoye, haut-commissaire à la réforme des retraites du gouvernement d’Édouard Philippe en 2017-2019, dit : « les révoltes et les violences naissent moins des misères que des injustices ».
● Les casseurs
À part quelques dégâts collatéraux à déplorer, comme la salle d’un restaurant endommagée à Ajaccio le 3 avril dernier, les vives actions engagées n’ont pas donné lieu aux habituelles scènes de pillage souvent constaté dans d’autres villes. Cette violence s’exerce essentiellement dans une confrontation entre manifestants et forces de l’ordre. La question politique est au centre de cette mobilisation, même si un important facteur émotionnel constitue le début.
● Les révoltés
La révolte est une action généralement collective, de manifestation contre l’autorité établie (pas nécessairement un gouvernement).
Napoléon Bonaparte l’explique dans une citation célèbre, qui étrangement inspire encore aujourd’hui le nationalisme corse. Celle-ci dit : « à tout peuple conquis, il faut une révolution ». De plus, Jean-Paul Delevoye, haut-commissaire à la réforme des retraites du gouvernement d’Édouard Philippe en 2017-2019, dit : « les révoltes et les violences naissent moins des misères que des injustices ».
Retrouvez les brochures pour préparer votre voyage en Corse
● Corsicatours
Séjours, circuits, activités, villas : La Corse, la vraie !
De marinas renommées en monts escarpés, de forêts régénérantes en rencontres souriantes, de petites villes chargées de savoirs en villages secrets emplis d’histoire : la Corse, ou l’éloge de la beauté.
Cliquez sur la couverture pour consulter la brochure en ligne Corsicatours
Tél : 04 95 20 20 20
Du lundi au vendredi, 9h-12h30 et 14h-18h
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Du lundi au vendredi, 9h-12h30 et 14h-18h
● Ollandini
Créateurs de rêves et d'émotions !
2022, nouvelle saison, nouvelle brochure ! Vous y retrouverez une offre variée et chatoyante sur les deux destinations dont Ollandini Voyages s’est fait le spécialiste depuis de nombreuses années, la Corse et la Sardaigne.
Cliquez sur la couverture pour consulter la brochure en ligne Ollandini
Tél : 04 95 23 92 17 et 04 95 23 92 11
Du lundi au vendredi de 09h15 à 12h15 et de 14h00 à 18h00
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Tél : 04 95 23 92 17 et 04 95 23 92 11
Du lundi au vendredi de 09h15 à 12h15 et de 14h00 à 18h00
