Vincent Cordier, directeur d’Ava
« la faute aux agences »
« Trop d’agences revendent les assurances et les assistances des TO, sans même prendre le temps de lire les clauses du contrat. Elles se contentent de glisser la police dans le carnet de voyage au tout dernier moment, sans rien expliquer au client.
Et ce dernier s’imagine à tord, qu’il est assuré contre tout ou presque et nous prend pour des voleurs quand intervient le sinistre ou l’obligation d’annuler et qu’ il découvre les conditions particulières de vente et les clauses suspensives»
Christina Pachoud, directeur de TMS/Contact
« les TO trop gourmands »
« Les assurances individuelles conçues sur mesure pour les réseaux et les agences sont généralement satisfaisantes pour le client. Il n’en va de même pour les polices proposées en option par les TO qui non contents de marger à 100 voire 200%, optent le plus souvent pour des garanties bas de gamme couvrant médiocrement les frais à l’étranger avec des plafonds ridiculement bas et des franchises élevées…».
Murielle Vidal, Selectour Grand Large à Nice
« prendre toutes les précautions »
« Quand malgré nos arguments, le client refuse de contracter l’assurance annulation que nous lui proposons et un complément d’assistance, nous lui faisons signer une décharge. Une précaution importante pour nous couvrir en cas de conflit, notamment s’il lui venait à l’idée d’évoquer le défaut de conseil en cas de sinistre et d’assurances insuffisantes. Il déclare par écrit refuser l’assurance rapatriement proposée, l’assurance annulation et toutes les autres solutions d’assurance.
Et le caractère administratif de l’imprimé à remplir, finit parfois par le convaincre d’acheter ce produit optionnel. Pour 10 ou 20 € de plus, pourquoi prendre des risques ? Et c’est ainsi que sur 17 dossiers tourisme conclus cette semaine, 12 ont été assortis de la Selectourisques ».
Sylvie Le Bot, directrice commerciale chez Empreinte
«prouver aux agences qu’il est plus habile de passer par un TO »
«Contrairement à nos concurrents qui reversent aux agence 10 ou 12% des ventes d’assurance, nous les commissionnons à 30% sur les polices de nos brochures. Nous voulons leur prouver qu’il est plus habile de passer par un TO en bénéficiant de son expérience sur le terrain.
Les deux garanties complémentaires (Empreinte Assur et Empreinte Assur Plus) ont été conçus par Assur Voyages et couvrent particulièrement bien le transport, la partie la délicate du voyage engendrant 80% des sources de litige. Les options « train ou avion manqué et «retard d’avion » ont considérablement diminué les litiges d’après-ventes».
Valérie Quinquenpois, agent de comptoir chez Thomas Cook Brignoles
« il ne s’y laissera pas prendre deux fois »
« Le client et sa compagne avaient opté pour une croisière Costa dans les Caraïbes, d’une valeur de 10 600 €. Mais le couple ne voulaient rien savoir : leur carte Visa Premier les garantissait de tout, y compris des annulations. Malheureusement, un décès dans la famille, les a contraint d’annuler leur départ.
Après plusieurs mois d’échanges administratifs, la banque a fini par signifier que les croisières annulées à plus d’un mois du départ n’étaient couvertes qu’à 25%. De plus, le client et sa compagne n’étant pas mariés, seul le porteur de la carte pouvait être indemnisé. Résultat : il lui en a coûté 7600 € »
« la faute aux agences »
« Trop d’agences revendent les assurances et les assistances des TO, sans même prendre le temps de lire les clauses du contrat. Elles se contentent de glisser la police dans le carnet de voyage au tout dernier moment, sans rien expliquer au client.
Et ce dernier s’imagine à tord, qu’il est assuré contre tout ou presque et nous prend pour des voleurs quand intervient le sinistre ou l’obligation d’annuler et qu’ il découvre les conditions particulières de vente et les clauses suspensives»
Christina Pachoud, directeur de TMS/Contact
« les TO trop gourmands »
« Les assurances individuelles conçues sur mesure pour les réseaux et les agences sont généralement satisfaisantes pour le client. Il n’en va de même pour les polices proposées en option par les TO qui non contents de marger à 100 voire 200%, optent le plus souvent pour des garanties bas de gamme couvrant médiocrement les frais à l’étranger avec des plafonds ridiculement bas et des franchises élevées…».
Murielle Vidal, Selectour Grand Large à Nice
« prendre toutes les précautions »
« Quand malgré nos arguments, le client refuse de contracter l’assurance annulation que nous lui proposons et un complément d’assistance, nous lui faisons signer une décharge. Une précaution importante pour nous couvrir en cas de conflit, notamment s’il lui venait à l’idée d’évoquer le défaut de conseil en cas de sinistre et d’assurances insuffisantes. Il déclare par écrit refuser l’assurance rapatriement proposée, l’assurance annulation et toutes les autres solutions d’assurance.
Et le caractère administratif de l’imprimé à remplir, finit parfois par le convaincre d’acheter ce produit optionnel. Pour 10 ou 20 € de plus, pourquoi prendre des risques ? Et c’est ainsi que sur 17 dossiers tourisme conclus cette semaine, 12 ont été assortis de la Selectourisques ».
Sylvie Le Bot, directrice commerciale chez Empreinte
«prouver aux agences qu’il est plus habile de passer par un TO »
«Contrairement à nos concurrents qui reversent aux agence 10 ou 12% des ventes d’assurance, nous les commissionnons à 30% sur les polices de nos brochures. Nous voulons leur prouver qu’il est plus habile de passer par un TO en bénéficiant de son expérience sur le terrain.
Les deux garanties complémentaires (Empreinte Assur et Empreinte Assur Plus) ont été conçus par Assur Voyages et couvrent particulièrement bien le transport, la partie la délicate du voyage engendrant 80% des sources de litige. Les options « train ou avion manqué et «retard d’avion » ont considérablement diminué les litiges d’après-ventes».
Valérie Quinquenpois, agent de comptoir chez Thomas Cook Brignoles
« il ne s’y laissera pas prendre deux fois »
« Le client et sa compagne avaient opté pour une croisière Costa dans les Caraïbes, d’une valeur de 10 600 €. Mais le couple ne voulaient rien savoir : leur carte Visa Premier les garantissait de tout, y compris des annulations. Malheureusement, un décès dans la famille, les a contraint d’annuler leur départ.
Après plusieurs mois d’échanges administratifs, la banque a fini par signifier que les croisières annulées à plus d’un mois du départ n’étaient couvertes qu’à 25%. De plus, le client et sa compagne n’étant pas mariés, seul le porteur de la carte pouvait être indemnisé. Résultat : il lui en a coûté 7600 € »
