MidAtlantic a réuni plus de 800 participants à Reykjavik. Les professionnels français et belges étaient une bonne vingtaine à faire le déplacement - DR : Page Facebook Icelandair Mid-Atlantic
Les professionnels français et belges étaient une bonne vingtaine à faire le déplacement à Reykjavik, en Islande, pour la 25e édition de MidAtlantic, du 26 au 29 janvier 2017.
Il y avait bien sûr les spécialistes de l'Islande comme Marc Broussaud d'Island Tours, Barbara Grenié et Laurent Cherfan de Kuoni/Scanditours.
Pour Marc Broussaud, MidAtlantic permet de croiser les réceptifs islandais, mais d'approfondir les contacts avec les fournisseurs du Groenland et des îles Féroé, les deux nouveautés de l'année d'Island Tours.
Étonnamment, Iles Féroé et le Groenland en circuit terrestre sont aussi les nouveautés de l'année chez Kuoni/ Scanditours. "Sur l'Islande, les contrats sont quasiment calés d'ores et déjà pour 2018. MidAtantic est l'occasion d'aborder déjà l'année 2019 pour les groupes", indique Barbara Grenié.
C'est que la spécialiste de la destination est bien consciente des limites de l'infrastructure hôtelière. "Nous n'avons pas eu de cas de surbook, car nous avons le même réceptif depuis vingt ans, qui défend nos intérêts, mais tout le monde sait que cela peut arriver, l'été sur la côte sud".
Il y avait bien sûr les spécialistes de l'Islande comme Marc Broussaud d'Island Tours, Barbara Grenié et Laurent Cherfan de Kuoni/Scanditours.
Pour Marc Broussaud, MidAtlantic permet de croiser les réceptifs islandais, mais d'approfondir les contacts avec les fournisseurs du Groenland et des îles Féroé, les deux nouveautés de l'année d'Island Tours.
Étonnamment, Iles Féroé et le Groenland en circuit terrestre sont aussi les nouveautés de l'année chez Kuoni/ Scanditours. "Sur l'Islande, les contrats sont quasiment calés d'ores et déjà pour 2018. MidAtantic est l'occasion d'aborder déjà l'année 2019 pour les groupes", indique Barbara Grenié.
C'est que la spécialiste de la destination est bien consciente des limites de l'infrastructure hôtelière. "Nous n'avons pas eu de cas de surbook, car nous avons le même réceptif depuis vingt ans, qui défend nos intérêts, mais tout le monde sait que cela peut arriver, l'été sur la côte sud".
Un important engouement pour les destinations nordiques
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Les difficultés à trouver des chambres et la tendance haussière des tarifs ne semblent pas décourager les pros qui veulent ajouter l'Islande à leurs programmations.
"Rien de mieux que des nouveautés pour fidéliser nos clients, et l'engouement pour les destinations nordiques est important", indique Corinne Louison, de Directours.
Même espoir partagé par Caroline Durel et Sophie Bozouksi de Vacances Bleues, le spécialiste des seniors, par Soufiane Wissam de Resaneo ou encore par Damien Tracoulat et Eric Edmond Bonnem de Secret Planet, organisateur de voyages nature et d'expéditions.
La mise en place de vols intérieurs à l'aéroport de Keflavik, jusque-là réservé aux vols internationaux, à partir de février 2017, devrait permettre aux touristes de transiter immédiatement vers les régions islandaises et soulager ainsi le trop plein touristique de la capitale et de la côte sud.
Si les clients se bousculent l'été sur les meilleurs spots, l'Islande a réussi le tour de force de s'imposer aussi l'hiver : soleil de minuit l'été, aurores boréales l'hiver.
Icelandair encourage même les stop-over jusqu'à 7 nuits sans augmentation tarifaire sur l'aérien pour les passagers en transit pendant la saison hiver.
"Rien de mieux que des nouveautés pour fidéliser nos clients, et l'engouement pour les destinations nordiques est important", indique Corinne Louison, de Directours.
Même espoir partagé par Caroline Durel et Sophie Bozouksi de Vacances Bleues, le spécialiste des seniors, par Soufiane Wissam de Resaneo ou encore par Damien Tracoulat et Eric Edmond Bonnem de Secret Planet, organisateur de voyages nature et d'expéditions.
La mise en place de vols intérieurs à l'aéroport de Keflavik, jusque-là réservé aux vols internationaux, à partir de février 2017, devrait permettre aux touristes de transiter immédiatement vers les régions islandaises et soulager ainsi le trop plein touristique de la capitale et de la côte sud.
Si les clients se bousculent l'été sur les meilleurs spots, l'Islande a réussi le tour de force de s'imposer aussi l'hiver : soleil de minuit l'été, aurores boréales l'hiver.
Icelandair encourage même les stop-over jusqu'à 7 nuits sans augmentation tarifaire sur l'aérien pour les passagers en transit pendant la saison hiver.
La France, 4e marché émetteur vers l'Islande
Au global, la compagnie estime avoir une part de marché de 50% des touristes visitant l'Islande et les professionnels commercialisent encore la moitié des sièges.
"Mais les voyageurs indépendants savent se débrouiller seuls et profiter des quelque 4 000 chambres proposées sur toute l'île via les plates-formes du type AirBnB", indique Birkir Holm Gudnason.
Tous profils confondus, les touristes français ont été 85 000 à visiter l'Islande en 2016, soit 20 000 de plus qu'en 2015.
La France reste le 4e marché émetteur après les Américains, les Allemands et les Anglais, mais le Canada la challenge.
L'Islande a reçu un total de 1,67 million de visiteurs en 2016, en progression de 40% sur 2015 et ce volume était déjà en progression de 30% sur 2014.
L'entité Promote Iceland estime que le flux va se tarir quelque peu dans les prochaines années avec une progression se situant davantage autour de 15%.
"Mais les voyageurs indépendants savent se débrouiller seuls et profiter des quelque 4 000 chambres proposées sur toute l'île via les plates-formes du type AirBnB", indique Birkir Holm Gudnason.
Tous profils confondus, les touristes français ont été 85 000 à visiter l'Islande en 2016, soit 20 000 de plus qu'en 2015.
La France reste le 4e marché émetteur après les Américains, les Allemands et les Anglais, mais le Canada la challenge.
L'Islande a reçu un total de 1,67 million de visiteurs en 2016, en progression de 40% sur 2015 et ce volume était déjà en progression de 30% sur 2014.
L'entité Promote Iceland estime que le flux va se tarir quelque peu dans les prochaines années avec une progression se situant davantage autour de 15%.
