A travers l'Europe les agences de voyages sont confrontées aux mêmes problèmes de concurrences et de rémunérations. Mais, du très libéral Danemark à la très réglementée France il n'existe pas de « modèle européen ».
Entre les pays du Nord et ceux du Sud, les conditions d'accès à la profession et la façon de l'exercer sont très contrastées. Elles dépendent en grande partie du comportement des consommateurs et des politiques de production et de distribution qui, elles aussi, diffèrent d'un pays à l'autre.
La licence n'est pas une réponse au paracommercialisme
Au sein même du marché intérieur il est des pays où la licence est exigée (France, Autriche, Belgique, Italie etc.) et d'autres (Allemagne, Danemark, Finlande, Royaume Uni ou Suède etc.) où aucune licence spécifique n'est requise. Pour autant cette distorsion n'empêche nullement les pratiques commerciales déloyales. Le paracommercialisme fleurit dans tous les Etats, qu'ils travaillent avec ou sans licence.
En revanche, dans tous les Etats, les agences de voyages doivent suivre la Directive des Voyages à Forfait. Demain ce sera celle appliquée aux Services. Elles doivent assurer leur RC professionnelle et justifier d'une garantie financière.
Aujourd'hui, du nord au sud de l'Europe, en dépit des différences des conditions d'accès et d'exercice de la profession, les stratégies développées pour pérenniser le métier convergent. Chacun peaufine le service, la valeur ajoutée, recherche des marchés de niche et se fait d'Internet un allié, considérant la vente en ligne comme une opportunité et non une menace.
Entre les pays du Nord et ceux du Sud, les conditions d'accès à la profession et la façon de l'exercer sont très contrastées. Elles dépendent en grande partie du comportement des consommateurs et des politiques de production et de distribution qui, elles aussi, diffèrent d'un pays à l'autre.
La licence n'est pas une réponse au paracommercialisme
Au sein même du marché intérieur il est des pays où la licence est exigée (France, Autriche, Belgique, Italie etc.) et d'autres (Allemagne, Danemark, Finlande, Royaume Uni ou Suède etc.) où aucune licence spécifique n'est requise. Pour autant cette distorsion n'empêche nullement les pratiques commerciales déloyales. Le paracommercialisme fleurit dans tous les Etats, qu'ils travaillent avec ou sans licence.
En revanche, dans tous les Etats, les agences de voyages doivent suivre la Directive des Voyages à Forfait. Demain ce sera celle appliquée aux Services. Elles doivent assurer leur RC professionnelle et justifier d'une garantie financière.
Aujourd'hui, du nord au sud de l'Europe, en dépit des différences des conditions d'accès et d'exercice de la profession, les stratégies développées pour pérenniser le métier convergent. Chacun peaufine le service, la valeur ajoutée, recherche des marchés de niche et se fait d'Internet un allié, considérant la vente en ligne comme une opportunité et non une menace.
Autres articles
-
Europe : le véritable retour de la libre circulation ? 🔑
-
Ciel unique : l'Europe du transport aérien sous le feu des critiques 🔑
-
Lufthansa : Le rachat d'ITA remis en cause par l'Europe ?
-
Amadeus mise sur le low cost, l'hôtel et la location de voitures 🔑
-
Tourisme : les investissements technos en hausse de 14% en 2024
Basée à Bruxelles ECTAA représente les associations nationales d'agents et organisateurs de voyages des Etats membres de l'UE ainsi que de deux pays candidats, de la Suisse et de la Norvège ce qui représente une trentaine d'adhérents. ECTAA est reconnue par les législateurs de Bruxelles comme l'interlocuteur incontournable représentant les agents de voyages et tour-opérateurs européens. L'association défend aussi les intérêts de l'industrie auprès de IATA, de l'OMT...
