Si le contexte économique est moins favorable aux courts séjours réalisés hors saison estivale, on observe une hausse sensible de la quasi-totalité des marchés sur la période de juin à septembre.
En revanche, les Britanniques sont toujours en retrait. Leurs nuitées en hôtels et résidences ont chuté de 16% sur cette période, et dans une moindre mesure aussi pour les Belges (-5%) et les Suisses (-3%).
Globalement, la demande étrangère a rebondi de 7%. Les nuitées françaises, quant à elles, augmentent de 3%. Les touristes venant de l’Italie, l’Allemagne et les USA, enregistrent respectivement + 10%, + 15% et +18%.
Des taux de croissance de plus de 30% de hausse des nuitées sont observés sur les marchés suivants : Afrique, Autriche, Turquie, Grèce, Océanie, Asie hors Japon.
La palme revient cet été à la Chine, qui connaît une hausse de 64% ! Une forte tendance à la reprise apparaît aussi sur les marchés suivants : Moyen Orient (+21%), Russie (+20%), Portugal (+19%), Scandinavie (+17%), Amérique latine (+14%), Canada (+13%). Enfin, sur l’Espagne et le Japon, le gain reste minime, ces marchés souffrant encore beaucoup de la crise économique
En revanche, les Britanniques sont toujours en retrait. Leurs nuitées en hôtels et résidences ont chuté de 16% sur cette période, et dans une moindre mesure aussi pour les Belges (-5%) et les Suisses (-3%).
Globalement, la demande étrangère a rebondi de 7%. Les nuitées françaises, quant à elles, augmentent de 3%. Les touristes venant de l’Italie, l’Allemagne et les USA, enregistrent respectivement + 10%, + 15% et +18%.
Des taux de croissance de plus de 30% de hausse des nuitées sont observés sur les marchés suivants : Afrique, Autriche, Turquie, Grèce, Océanie, Asie hors Japon.
La palme revient cet été à la Chine, qui connaît une hausse de 64% ! Une forte tendance à la reprise apparaît aussi sur les marchés suivants : Moyen Orient (+21%), Russie (+20%), Portugal (+19%), Scandinavie (+17%), Amérique latine (+14%), Canada (+13%). Enfin, sur l’Espagne et le Japon, le gain reste minime, ces marchés souffrant encore beaucoup de la crise économique
