Après avoir renoncé à donner suite aux candidatures de la CCI de Nice et de l’association Nice Acropolis pour l’affermage d’Acropolis le Palais des Congrès de Nice, la municipalité avait engagé des discussions directes avec General Events, une société privée qui gère plusieurs palais des congrès dont celui de Lyon.
Mais face à l’opposition des salariés et des professionnels niçois du tourisme, la société se désiste. Acropolis risque ainsi de se retrouver sans gestionnaire le 31 décembre. Situation délicate d’autant que Nice doit accueillir en février le sommet de l’Otan qui a payé 1,3 ME pour réserver le bâtiment.
Dominique Esteve, nouveau Président de la CCI de Nice annonce, lors de son élection le 12 décembre, sa volonté de sortir la ville de Nice de l’impasse.
La CCI de Nice avait été candidate à l’appel d’offre de l’affermage.« La situation d’Acropolis est pour ainsi dire catastrophique avec un important déficit et un carnet de réservation quasi vide sur les deux prochaines années. Or c’est un outil essentiel pour Nice.
On est prêt à relever le défi si la municipalité le souhaite. Ce n’est pas qu’un challenge commercial mais social. » explique Michel Tschann, Président des hôteliers de Nice.
« Il faut une véritable solution sur 10 ans, avec une équipe de professionnels qui conserve à cet outil sa vocation d’intérêt public sans oublier qu’il est dans une concurrence internationale. »
Michel BOVAS - bovas@cegetel.net
Mais face à l’opposition des salariés et des professionnels niçois du tourisme, la société se désiste. Acropolis risque ainsi de se retrouver sans gestionnaire le 31 décembre. Situation délicate d’autant que Nice doit accueillir en février le sommet de l’Otan qui a payé 1,3 ME pour réserver le bâtiment.
Dominique Esteve, nouveau Président de la CCI de Nice annonce, lors de son élection le 12 décembre, sa volonté de sortir la ville de Nice de l’impasse.
La CCI de Nice avait été candidate à l’appel d’offre de l’affermage.« La situation d’Acropolis est pour ainsi dire catastrophique avec un important déficit et un carnet de réservation quasi vide sur les deux prochaines années. Or c’est un outil essentiel pour Nice.
On est prêt à relever le défi si la municipalité le souhaite. Ce n’est pas qu’un challenge commercial mais social. » explique Michel Tschann, Président des hôteliers de Nice.
« Il faut une véritable solution sur 10 ans, avec une équipe de professionnels qui conserve à cet outil sa vocation d’intérêt public sans oublier qu’il est dans une concurrence internationale. »
Michel BOVAS - bovas@cegetel.net
