La perte d'exploitation de Thomas Cook Plc pour le semestre se terminant à fin mars est en nette baisse à 220 millions de Livres sterling au lieu de 283 millions pour la même période l'année dernière.
Le chiffre d'affaires s'établit à 2,7 milliards de livres en baisse de 8,9% après la vente de quelques actifs. Quant à la dette, elle diminue également passant de 811 millions de livres à 700 millions.
Un résultat plutôt encourageant d'autant que le groupe annonce avoir vendu 62% du stock de l'été, soit 2 points de mieux que l'année dernière à la même époque.
Pour autant, si Thomas Cook a le vent en poupe en Grande-Bretagne avec les réservations de l'été en hausse de 3% - et ce, en dépit des remous créés par la gestion maladroite de l'affaire liés à la mort accidentelle de deux enfants dans un hôtel de Corfu, et si Condor en Allemagne voit ses réservations croître de 9%, ce n'est pas le cas ailleurs.
Le chiffre d'affaires s'établit à 2,7 milliards de livres en baisse de 8,9% après la vente de quelques actifs. Quant à la dette, elle diminue également passant de 811 millions de livres à 700 millions.
Un résultat plutôt encourageant d'autant que le groupe annonce avoir vendu 62% du stock de l'été, soit 2 points de mieux que l'année dernière à la même époque.
Pour autant, si Thomas Cook a le vent en poupe en Grande-Bretagne avec les réservations de l'été en hausse de 3% - et ce, en dépit des remous créés par la gestion maladroite de l'affaire liés à la mort accidentelle de deux enfants dans un hôtel de Corfu, et si Condor en Allemagne voit ses réservations croître de 9%, ce n'est pas le cas ailleurs.
Zone Europe : résa en baisse de 4%
Les réservations sont en baisse de 4% dans la zone Europe continentale qui inclut la France et également de 4% dans la zone Europe du nord.
Mais, ces ombres au tableau ne ternissent pas, au final, l'évolution positive du groupe vers un retour à la profitabilité. Thomas Cook envisage même le versement de dividendes en 2016.
La prise de participation de 5% par le groupe chinois Fosun en mars dernier ouvre des perspectives de développement intéressantes à travers trois projets concrets.
Tout d'abord, le développement d'une base hôtelière commune à l'ensemble du groupe à laquelle Fosun apportera une trentaine d'établissements, les premiers dès cette année.
Par ailleurs une co-entreprise (51% Fosun/49% Thomas Cook) sera créée à Shanghai afin de gérer les activités d'incoming et d'outgoing sur le marché chinois.
Mais, ces ombres au tableau ne ternissent pas, au final, l'évolution positive du groupe vers un retour à la profitabilité. Thomas Cook envisage même le versement de dividendes en 2016.
La prise de participation de 5% par le groupe chinois Fosun en mars dernier ouvre des perspectives de développement intéressantes à travers trois projets concrets.
Tout d'abord, le développement d'une base hôtelière commune à l'ensemble du groupe à laquelle Fosun apportera une trentaine d'établissements, les premiers dès cette année.
Par ailleurs une co-entreprise (51% Fosun/49% Thomas Cook) sera créée à Shanghai afin de gérer les activités d'incoming et d'outgoing sur le marché chinois.
Partenariat entre Thomas Cook et Club Med
Enfin, la collaboration de Thomas Cook et de Club Med sera renforcée sur les différents marchés où les deux entreprises sont présentes.
Autre projet stratégique, le groupe annonce travailler sur un nouveau modèle opérationnel qui sera déployé en 2016.
La technologie devrait permettre d'harmoniser et d'alléger les process. Une gestion centralisée de la production garantissant, au final, de meilleures marges.
Peter Fankhauser, le Ceo du groupe, souligne que des études menées en Grande-Bretagne, Allemagne et Scandinavie auprès des clients concluent que ces derniers ne voient pas d'un mauvais oeil le mélange des nationalités "à condition que le mix soit bon".
Quant à Thomas Cook France, Michael Healy, le directeur financier du groupe indique que la perte d'exploitation devrait se situer en dessous de 10% cette année et qu'un retour à l'équilibre est probable l'année prochaine.
Autre projet stratégique, le groupe annonce travailler sur un nouveau modèle opérationnel qui sera déployé en 2016.
La technologie devrait permettre d'harmoniser et d'alléger les process. Une gestion centralisée de la production garantissant, au final, de meilleures marges.
Peter Fankhauser, le Ceo du groupe, souligne que des études menées en Grande-Bretagne, Allemagne et Scandinavie auprès des clients concluent que ces derniers ne voient pas d'un mauvais oeil le mélange des nationalités "à condition que le mix soit bon".
Quant à Thomas Cook France, Michael Healy, le directeur financier du groupe indique que la perte d'exploitation devrait se situer en dessous de 10% cette année et qu'un retour à l'équilibre est probable l'année prochaine.
