Avec l’affrètement de la compagnie XL Airways par Go Voyages sur New York JFK, c’est un peu à un retour vers le futur auquel on assiste. Les plus anciens se souviendront sûrement des vols à 500 francs vendus sur cet axe par Klat Travel dans les années 80...
Les premiers tarifs à moins de 400 euros l’aller-retour sur le site de Go Voyages rappellent donc le bon vieux temps. Celui où la capacité régulière et les tarifs pratiqués ne répondaient pas aux besoins du marché et laissaient une place aux vols affrétés.
Les mêmes conditions se retrouvent aujourd'hui. Car l’engouement des Français pour la Grosse Pomme l’été dernier était tel que les tarifs se sont envolés. Il y a donc de la place pour un opérateur pratiquant des tarifs raisonnables.
D‘autant que, pour l’été prochain, de nouveaux arguments viennent plaider en faveur de New York : des tarifs hôteliers en forte baisse à cause de la crise et la parité du dollar toujours aussi favorable.
Les premiers tarifs à moins de 400 euros l’aller-retour sur le site de Go Voyages rappellent donc le bon vieux temps. Celui où la capacité régulière et les tarifs pratiqués ne répondaient pas aux besoins du marché et laissaient une place aux vols affrétés.
Les mêmes conditions se retrouvent aujourd'hui. Car l’engouement des Français pour la Grosse Pomme l’été dernier était tel que les tarifs se sont envolés. Il y a donc de la place pour un opérateur pratiquant des tarifs raisonnables.
D‘autant que, pour l’été prochain, de nouveaux arguments viennent plaider en faveur de New York : des tarifs hôteliers en forte baisse à cause de la crise et la parité du dollar toujours aussi favorable.
Maintenir ce volet d’affrètements de charters
Et comme la destination est consommée depuis longtemps hors packages, toutes les raisons semblent réunies pour lancer une chaîne charter qui se vendra principalement en vols secs.
Car le souci de Go Voyages, actuellement, est de maintenir ce volet d’affrètements de charters qui a fait la base de son succès. Or, explique Carlos da Silva, le président de Go, « les vols charters sont en voie de disparition. D’une part, les compagnies low cost sont venues s’implanter sur les lignes touristiques court courrier.
D’autre part, les compagnies régulières qui opéraient sur ces lignes ont aligné leurs politiques tarifaires sur les low cost. En conséquence de quoi, les tarifs charter sont parfois plus élevés que ceux des compagnies régulières».
Et les tour-opérateurs qui ont l’embarras du choix pour travailler avec tous ces transporteurs à des tarifs raisonnables ne cherchent plus à courir le risque financier d’affréter ou même de co-affréter.
Car le souci de Go Voyages, actuellement, est de maintenir ce volet d’affrètements de charters qui a fait la base de son succès. Or, explique Carlos da Silva, le président de Go, « les vols charters sont en voie de disparition. D’une part, les compagnies low cost sont venues s’implanter sur les lignes touristiques court courrier.
D’autre part, les compagnies régulières qui opéraient sur ces lignes ont aligné leurs politiques tarifaires sur les low cost. En conséquence de quoi, les tarifs charter sont parfois plus élevés que ceux des compagnies régulières».
Et les tour-opérateurs qui ont l’embarras du choix pour travailler avec tous ces transporteurs à des tarifs raisonnables ne cherchent plus à courir le risque financier d’affréter ou même de co-affréter.
Possibilité de lancer une production de forfaits liés à notre programme charter
« Pour maintenir cette activité d’affrétement, nous étudions la possibilité de lancer une production de forfaits liés à notre programme charter dès la saison prochaine, soit en coopération avec Promovacances, soit en propre.
Si la décision est prise, nous présenterons cette production àTop Resa car elle pourrait être diffusée en B2B, B2B2C, B2C ou en marque blanche».
Pour le vol de New York, Go Voyages fait une « infidélité » à son fournisseur préféré, Air Méditerranée qui ne dispose pas d’appareils pouvant couvrir la distance. Mais pour Carlos da Silva travailler avec XL Airways, ex-Star Airlines, c’est un peu un retour aux sources puisqu’il était actionnaire de lancement de la compagnie.
Si la décision est prise, nous présenterons cette production àTop Resa car elle pourrait être diffusée en B2B, B2B2C, B2C ou en marque blanche».
Pour le vol de New York, Go Voyages fait une « infidélité » à son fournisseur préféré, Air Méditerranée qui ne dispose pas d’appareils pouvant couvrir la distance. Mais pour Carlos da Silva travailler avec XL Airways, ex-Star Airlines, c’est un peu un retour aux sources puisqu’il était actionnaire de lancement de la compagnie.
