Les workshops régionaux organisés par des groupes de régions ont fait place l'année dernière à une seule manifestation: les "Rendez-Vous France" (cette année 28 et 29 mars à Strasbourg).
Mauvais système de réservation et de gestion des rendez-vous, multiplicité des contacts obligeant à raccourcir le temps de discussion, absence de petits producteurs régionaux de qualité…, les TO étrangers interrogés lors de leur passage à Montpellier sont unanimes pour condamner cette nouvelle formule.
Les workshops régionaux sont plébiscités
A l'inverse, les workshops régionaux sont plébiscités, en particulier, le "Carrefour Grand Sud", lancé par la région Languedoc-Roussillon en 1988, cité en exemple pour la qualité de l'organisation, des contacts et de l'accueil; d'autant que le système d'alternance entre les cinq régions du Grand Sud permettait un renouvellement annuel des contacts.
Aussi peut-on se demander si le souci de facilité et d'économie de la part des régions, doublé d'une reprise en main indirecte par les instances nationales du premier secteur passé sous la compétence des régions lors des premières lois de décentralisation, ne va pas diminuer l'attrait du tourisme français au lieu de le développer, pénaliser la diversification de son offre et aller à l'encontre d'un aménagement du territoire.
Mauvais système de réservation et de gestion des rendez-vous, multiplicité des contacts obligeant à raccourcir le temps de discussion, absence de petits producteurs régionaux de qualité…, les TO étrangers interrogés lors de leur passage à Montpellier sont unanimes pour condamner cette nouvelle formule.
Les workshops régionaux sont plébiscités
A l'inverse, les workshops régionaux sont plébiscités, en particulier, le "Carrefour Grand Sud", lancé par la région Languedoc-Roussillon en 1988, cité en exemple pour la qualité de l'organisation, des contacts et de l'accueil; d'autant que le système d'alternance entre les cinq régions du Grand Sud permettait un renouvellement annuel des contacts.
Aussi peut-on se demander si le souci de facilité et d'économie de la part des régions, doublé d'une reprise en main indirecte par les instances nationales du premier secteur passé sous la compétence des régions lors des premières lois de décentralisation, ne va pas diminuer l'attrait du tourisme français au lieu de le développer, pénaliser la diversification de son offre et aller à l'encontre d'un aménagement du territoire.
