C’est à 17h30 que je retrouve le groupe au Terminal 1 de l’aéroport Paris CDG.
Après un rapide enregistrement, nous prenons la direction du Lounge de la Star Alliance, au niveau 10. A cette heure de la journée, le salon est bondé et manque de convivialité. Au niveau de la restauration, peu de choix pour se faire un encas.
Les rangées de sièges (182) donnent une atmosphère de cafétéria à cet espace de 600 m² qui se veut « lounge ».
Notre vol étant annoncé avec du retard, j’en profite pour visiter les douches, le business center, et me poser au calme avec le groupe dans un salon à part mais mal éclairé.
Le retard n’est finalement que de quelques minutes et l’embarquement se fait rapidement.
L’appareil, un Boieng 777-200ER, est configuré en bi-classe : 28 sièges en Business (2x3x2) et 271 en économique (2x4x2).
Après un rapide enregistrement, nous prenons la direction du Lounge de la Star Alliance, au niveau 10. A cette heure de la journée, le salon est bondé et manque de convivialité. Au niveau de la restauration, peu de choix pour se faire un encas.
Les rangées de sièges (182) donnent une atmosphère de cafétéria à cet espace de 600 m² qui se veut « lounge ».
Notre vol étant annoncé avec du retard, j’en profite pour visiter les douches, le business center, et me poser au calme avec le groupe dans un salon à part mais mal éclairé.
Le retard n’est finalement que de quelques minutes et l’embarquement se fait rapidement.
L’appareil, un Boieng 777-200ER, est configuré en bi-classe : 28 sièges en Business (2x3x2) et 271 en économique (2x4x2).
Des sièges et des divertissements à dépoussiérer
Le camaïeu beige choisit pour décorer la cabine, rend l’atmosphère neutre, voire triste. Et il ne faudra pas compter sur l’uniforme des hôtesses, dans les mêmes tons, pour égayer l’ensemble - Photo CD
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La classe Affaires affiche complet. Les passagers sont des Coréens pour la majorité à l’exception du Français à côté duquel je suis assise.
La disposition des sièges me surprend : pas de « flat beds », des sièges avec une inclinaison à 180° comme annoncé mais plutôt à 160°. Quant à la rangée centrale, celle-ci est composée de trois sièges et manque cruellement d’intimité.
Un sentiment accrû par l’absence d’espaces cloisonnés.
Le camaïeu beige choisit pour décorer la cabine, rend l’atmosphère neutre, voire triste. Et il ne faudra pas compter sur l’uniforme des hôtesses, dans les mêmes tons, pour égayer l’ensemble.
Quant aux services hi-tech, les mauvaises surprises vont crescendo en commençant par l’absence de prises pour ordinateur et de port usb.
L’écran, d’une taille honorable, permet de visualiser un programme parmi 17 chaînes qui diffusent 9 films, 7 émissions et une chaîne thématique dédiée à la musique.
Mais attention, ici pas de vidéos, ni de musique à la demande. C’est la compagnie qui lance le programme de divertissement, à vous ensuite de choisir le bon « channel ».
Pour ne rien arranger, l’image est brouillée, et le menu de navigation manque de fonctionnalités.
Le confort et la liberté de la Première Classe en Classe Affaires tant annoncés, ne sont décidément pas au rendez-vous !
La disposition des sièges me surprend : pas de « flat beds », des sièges avec une inclinaison à 180° comme annoncé mais plutôt à 160°. Quant à la rangée centrale, celle-ci est composée de trois sièges et manque cruellement d’intimité.
Un sentiment accrû par l’absence d’espaces cloisonnés.
Le camaïeu beige choisit pour décorer la cabine, rend l’atmosphère neutre, voire triste. Et il ne faudra pas compter sur l’uniforme des hôtesses, dans les mêmes tons, pour égayer l’ensemble.
Quant aux services hi-tech, les mauvaises surprises vont crescendo en commençant par l’absence de prises pour ordinateur et de port usb.
L’écran, d’une taille honorable, permet de visualiser un programme parmi 17 chaînes qui diffusent 9 films, 7 émissions et une chaîne thématique dédiée à la musique.
Mais attention, ici pas de vidéos, ni de musique à la demande. C’est la compagnie qui lance le programme de divertissement, à vous ensuite de choisir le bon « channel ».
Pour ne rien arranger, l’image est brouillée, et le menu de navigation manque de fonctionnalités.
Le confort et la liberté de la Première Classe en Classe Affaires tant annoncés, ne sont décidément pas au rendez-vous !
Une qualité de service et de restauration atypique
Le menu trilingue (coréen, anglais et français) propose un dîner occidental ou coréen. J’opte pour le deuxième, une bouillie de sésame suivie d’un bibimbap servis dans un service en porcelaine avec des baguettes - Photo CD
Malgré ces déconvenues, la qualité du service et du catering permet de passer agréablement les 11 heures de vol.
Une trousse de toilette est remise dès l’arrivée par les hôtesses ainsi que des écouteurs et des pantoufles.
Quand arrive le moment de se restaurer, je peux enfin me réjouir d’être en classe Affaires.
Le menu trilingue (coréen, anglais et français) propose un dîner occidental ou coréen. J’opte pour le deuxième, une bouillie de sésame suivie d’un bibimbap servis dans un service en porcelaine avec des baguettes.
L’évasion peut commencer ! D’autant que le service effectué, l’homme en premier… me rappelle les différences des us et coutumes dans certains pays asiatiques.
Un copieux repas est enfin servi deux heures avant l’atterrissage que je prends tout en remplissant le formulaire que je devrais remettre à la douane.
Malgré le petit retard au départ, l’arrivée s’effectue comme prévu à 13h50, heure locale.
Une trousse de toilette est remise dès l’arrivée par les hôtesses ainsi que des écouteurs et des pantoufles.
Quand arrive le moment de se restaurer, je peux enfin me réjouir d’être en classe Affaires.
Le menu trilingue (coréen, anglais et français) propose un dîner occidental ou coréen. J’opte pour le deuxième, une bouillie de sésame suivie d’un bibimbap servis dans un service en porcelaine avec des baguettes.
L’évasion peut commencer ! D’autant que le service effectué, l’homme en premier… me rappelle les différences des us et coutumes dans certains pays asiatiques.
Un copieux repas est enfin servi deux heures avant l’atterrissage que je prends tout en remplissant le formulaire que je devrais remettre à la douane.
Malgré le petit retard au départ, l’arrivée s’effectue comme prévu à 13h50, heure locale.
Asiana Airlines en bref
- Asiana Airlines opère des vols directs Paris/Séoul depuis Paris CDG Terminal 1 tous les Lundis, Mercredis et Vendredis. A partir du 18 novembre, une quatrième rotation sera ouverte le dimanche. Vente et disponibilité des vols sur GDS.
- Compagnie privée sud-coréenne fondée en 1988 par le groupe Kumho Asiana, elle a été élue meilleure compagnie aérienne de l’année par l’ATW (2009), Skytrax (2010) et le Global Traveller (2011) pour sa haute qualité de service.
- La flotte compte 71 appareils desservant 87 destinations dans 22 pays. Asiana Airlines est le premier transporteur entre la Corée, le Japon et la Chine.
- Compagnie privée sud-coréenne fondée en 1988 par le groupe Kumho Asiana, elle a été élue meilleure compagnie aérienne de l’année par l’ATW (2009), Skytrax (2010) et le Global Traveller (2011) pour sa haute qualité de service.
- La flotte compte 71 appareils desservant 87 destinations dans 22 pays. Asiana Airlines est le premier transporteur entre la Corée, le Japon et la Chine.
