
La compagnie a été "contrainte, depuis 4 jours, de ne plus effectuer de traversées sur la Corse car l’Etat n’assure plus les conditions de sécurité dans les ports." expliquait-t-elle dans son communiqué. "Des membres de son personnel ont été violemment pris à partie et notre siège à Bastia a été attaqué."
"Depuis 4 jours, des milliers de passagers et de touristes ne peuvent se rendre en Corse car la liberté de circulation entre le Continent et l’Ile est bafouée.[...] La politique commerciale de proximité et de recherche de satisfaction de Corsica Ferries envers ses clients est mise à mal.[...] L’économie et le tourisme corses et plus encore l’image de l’Ile, sont à nouveau gravement mis en cause.
Enfin "la sécurité des passagers et la liberté de circulation sont des droits républicains que seul l’Etat peut assurer."
NDLR : les liaisons Corse-continent ont repris dimanche matin.
"Depuis 4 jours, des milliers de passagers et de touristes ne peuvent se rendre en Corse car la liberté de circulation entre le Continent et l’Ile est bafouée.[...] La politique commerciale de proximité et de recherche de satisfaction de Corsica Ferries envers ses clients est mise à mal.[...] L’économie et le tourisme corses et plus encore l’image de l’Ile, sont à nouveau gravement mis en cause.
Enfin "la sécurité des passagers et la liberté de circulation sont des droits républicains que seul l’Etat peut assurer."
NDLR : les liaisons Corse-continent ont repris dimanche matin.