A côté de ces entités, le groupe dispose d’un réseau d’agences ouvertes Holiday Land (16 points de vente) et une participation de 49% dans le réseau Mare Tours (20 points de vente). A ceux-ci, il faut rajouter l’opérateur TO/agences intégrées Neckermann qui propose dans son circuit de 92 agences des produits exclusifs.
Simplifier ces dénominations
En ce qui concerne les TO, il n’y aura pas de changements. En dehors de Pégase qui garde son nom, les autres TO sont vendus sous l’appellation Thomas Cook.
Pour ce qui du service intégré Neckermann, vu le haut niveau de notoriété de la marque, il a été décidé de maintenir celle-ci en vie. La nouveauté concerne la distribution, les marques Holiday Land et Mare Tours sont condamnées à disparaître au profit de l’appellation Thomas Cook Travel Shop.
Le troisième réseau de distribution ouverte en Belgique
Thomas Cook Travel Shop avec ses 36 points de vente et ses 50 millions d’Euros de chiffre d’affaires se situera au troisième rang de la distribution ouverte de voyages loisirs en Belgique. Les deux premiers réseaux étant ceux de TUI (TUI Travel Center) et de CWT.
Une différence de politique est cependant à noter : alors que Tui Travel Center et les agences CWT commercialisent aussi bien le leisure que le business travel, les AGV Thomas Cook Travel Shop ne vendront que du loisir et rien que du loisir.
La formation avant tout
Il a été décidé de privilégier la formation du personnel. Frank Van Den Eynde, directeur commercial: « Il est fini le temps où le rôle d’un agent de comptoir se limitait à la seule vente. Demain il sera primordial qu’il devienne un vrai conseiller en voyages. Ce qui implique pour notre part des investissements en technologie, personnel et formation de celui-ci. Nous entendons mettre en place une politique importante de formation permanente.»
Politique de prix et sélection des fournisseurs
« Pas de bradage des prix, mais une politique de prix compétitifs ! » Pour Thomas Cook Belgique, ce qui compte, c’est le rapport qualité/prix des forfaits commercialisés. «Les TO que nous allons proposer à nos clients devront respecter un cahier de charges très précis. Il sera indispensable pour ceux-ci de respecter nos critères et ceux-ci ne se limitent pas seulement au prix ou à la marge de commission. »
Thomas Cook en Belgique est en bénéfice pour l’année 2003
Lors de la présentation du nouveau design des AGV, Hans Swinnen, CEO de Thomas Cook en Belgique nous a confirmé que la filiale belge était bénéficiaire pour l’année qui vient de s’écouler. « En fait, nos résultats seront proches de ceux de l’an passé (ndlr. : en 2002, la filiale belge avait clôturé son exercice avec un bénéfice de 23,5 millions d’Euros).
Malgré les problèmes rencontrés dans le secteur, nous avons réussi à préserver nos marges. » La réussite de ce succès ? « Notre force est de maintenir une culture de team à tous les niveaux. Ensemble, dirigeants comme cadre ou employés, nous avons plus d’idées, d’expériences, de connaissances techniques pour atteindre nos objectifs ».
Michel GHESQUIERE - 14 novembre 2003
michel.ghesquiere@euronet.be
Simplifier ces dénominations
En ce qui concerne les TO, il n’y aura pas de changements. En dehors de Pégase qui garde son nom, les autres TO sont vendus sous l’appellation Thomas Cook.
Pour ce qui du service intégré Neckermann, vu le haut niveau de notoriété de la marque, il a été décidé de maintenir celle-ci en vie. La nouveauté concerne la distribution, les marques Holiday Land et Mare Tours sont condamnées à disparaître au profit de l’appellation Thomas Cook Travel Shop.
Le troisième réseau de distribution ouverte en Belgique
Thomas Cook Travel Shop avec ses 36 points de vente et ses 50 millions d’Euros de chiffre d’affaires se situera au troisième rang de la distribution ouverte de voyages loisirs en Belgique. Les deux premiers réseaux étant ceux de TUI (TUI Travel Center) et de CWT.
Une différence de politique est cependant à noter : alors que Tui Travel Center et les agences CWT commercialisent aussi bien le leisure que le business travel, les AGV Thomas Cook Travel Shop ne vendront que du loisir et rien que du loisir.
La formation avant tout
Il a été décidé de privilégier la formation du personnel. Frank Van Den Eynde, directeur commercial: « Il est fini le temps où le rôle d’un agent de comptoir se limitait à la seule vente. Demain il sera primordial qu’il devienne un vrai conseiller en voyages. Ce qui implique pour notre part des investissements en technologie, personnel et formation de celui-ci. Nous entendons mettre en place une politique importante de formation permanente.»
Politique de prix et sélection des fournisseurs
« Pas de bradage des prix, mais une politique de prix compétitifs ! » Pour Thomas Cook Belgique, ce qui compte, c’est le rapport qualité/prix des forfaits commercialisés. «Les TO que nous allons proposer à nos clients devront respecter un cahier de charges très précis. Il sera indispensable pour ceux-ci de respecter nos critères et ceux-ci ne se limitent pas seulement au prix ou à la marge de commission. »
Thomas Cook en Belgique est en bénéfice pour l’année 2003
Lors de la présentation du nouveau design des AGV, Hans Swinnen, CEO de Thomas Cook en Belgique nous a confirmé que la filiale belge était bénéficiaire pour l’année qui vient de s’écouler. « En fait, nos résultats seront proches de ceux de l’an passé (ndlr. : en 2002, la filiale belge avait clôturé son exercice avec un bénéfice de 23,5 millions d’Euros).
Malgré les problèmes rencontrés dans le secteur, nous avons réussi à préserver nos marges. » La réussite de ce succès ? « Notre force est de maintenir une culture de team à tous les niveaux. Ensemble, dirigeants comme cadre ou employés, nous avons plus d’idées, d’expériences, de connaissances techniques pour atteindre nos objectifs ».
Michel GHESQUIERE - 14 novembre 2003
michel.ghesquiere@euronet.be
