
L’implantation à 97 cm offre 20 % d‘espace sup', l’accoudoir est plus large, les sièges coques permettent une inclinaison de 3 degrés sup'. Le tout avec un repose-jambes, repose-pieds, écran individuel, liseuse et prise ordinateur.
Le principe de cette classe intermédiaire entre la classe Economique classique et la Business Class est d’apporter plus d’espace au passager, tout en gardant un catering de classe Eco.
Mais avec la possibilité d’avoir accès au snack à la demande pendant toute la durée du vol.
L’implantation des sièges à 97 centimètres offre 20 % d‘espace supplémentaire par rapport à la classe Eco classique.
L’accoudoir entre deux sièges est plus large et les sièges coques qui gagnent trois centimètres en largeur, permettent une inclinaison ( de trois degrés supplémentaires par rapport à l’Eco de base) sans gêner le passager de la rangée suivante.
Le siège dispose d’un repose-jambes et d’un repose-pieds, d’un écran individuel, d’une liseuse et de prises ordinateurs.
Les Boeing 777-300 qui opèrent sur Tokyo disposent de 44 sièges Premium Economy et les 777-200 d’Osaka en auront 40. Mais il a fallu faire de la place sur l’espace Eco pour les installer. Ainsi le B 777-300 qui était configuré auparavant en 9 Première-63 Business et 220 Eco se retrouve désormais en 9 Première-63 Business-44 Premium Economy et 156 Eco.
75% de remplissage pour la Premium Economy
Ce qui modifie considérablement l’offre. « L’objectif de cette Premium Economy est de faire remonter le yield moyen de la classe Économique », explique Jean-Louis Amalric, le directeur commercial de Japan Airlines.
La classe Eco de base se remplit plus vite et avec une différence minimum de 250 euros environ entre les deux produits, les passagers n’ont pas le choix que d’accepter la montée en gamme s‘ils veulent voler Jal.
Le scénario est en tous cas bien caler pour les périodes de croissance économique mais avec le retournement de situation actuelle, le danger est bien de voir les passagers Affaires descendre vers le fond de l’avion…
Pour l’instant, chez Japan Airlines, ce n’est pas encore le cas. Les classes Premium tiennent même mieux le choc que les classes Eco : -3% en Premium pour - 13% en Affaires dans le sens France-Japon jusqu’à la fin septembre.
Cette classe Economie améliorée intéresse de plus en plus de compagnies. En avril dernier, lorsque les premiers avions de Jal ont été équipés, une vingtaine de compagnies en étaient déjà pourvues. Depuis Air France a laissé entendre qu’elle l’adopterait aussi sur la flotte long courrier.
Lorsque la compagnie nationale diffusera ce produit, il deviendra plus facile pour les compagnies concurrentes de commercialiser le leur. Avec 75% de remplissage actuellement, la Premium Economy de Jal prend lentement ses marques.
La classe Eco de base se remplit plus vite et avec une différence minimum de 250 euros environ entre les deux produits, les passagers n’ont pas le choix que d’accepter la montée en gamme s‘ils veulent voler Jal.
Le scénario est en tous cas bien caler pour les périodes de croissance économique mais avec le retournement de situation actuelle, le danger est bien de voir les passagers Affaires descendre vers le fond de l’avion…
Pour l’instant, chez Japan Airlines, ce n’est pas encore le cas. Les classes Premium tiennent même mieux le choc que les classes Eco : -3% en Premium pour - 13% en Affaires dans le sens France-Japon jusqu’à la fin septembre.
Cette classe Economie améliorée intéresse de plus en plus de compagnies. En avril dernier, lorsque les premiers avions de Jal ont été équipés, une vingtaine de compagnies en étaient déjà pourvues. Depuis Air France a laissé entendre qu’elle l’adopterait aussi sur la flotte long courrier.
Lorsque la compagnie nationale diffusera ce produit, il deviendra plus facile pour les compagnies concurrentes de commercialiser le leur. Avec 75% de remplissage actuellement, la Premium Economy de Jal prend lentement ses marques.