
Au terme d'une assemblée houleuse, l'immense majorité des créanciers a préféré la solution proposée par la compagnie portugaise TAP aux cinq autres propositions.
Un contrat devait être signé mardi prochain entre TAP et la Banque nationale de développement économique et social (BNDES), institution publique brésilienne qui a proposé de financer les investisseurs candidats au sauvetage de Varig.
62 millions de dollars devait être déposés hier mardi conjointement par TAP et par la BNDES sur un compte bancaire à New York pour régler la dette de Varig vis-à-vis des sociétés américaines de leasing qui avaient financé l'achat de la majeure partie de sa flotte.
Un tribunal de New York doit se prononcer, toujours aujourd'hui, sur la saisie d'une quarantaine d'avions à la demande des sociétés de leasing, si Varig ne parvient pas à s'acquitter à temps de sa dette.
Le directeur général de TAP Portugal, le Brésilien Fernando Pinto, qui a dirigé Varig jusqu'en 2000, s'est également déclaré prêt à injecter 500 millions de dollars dans le cadre de cette restructuration en échange de 20% du capital de la compagnie dans le cadre de cette restructuration.
Un contrat devait être signé mardi prochain entre TAP et la Banque nationale de développement économique et social (BNDES), institution publique brésilienne qui a proposé de financer les investisseurs candidats au sauvetage de Varig.
62 millions de dollars devait être déposés hier mardi conjointement par TAP et par la BNDES sur un compte bancaire à New York pour régler la dette de Varig vis-à-vis des sociétés américaines de leasing qui avaient financé l'achat de la majeure partie de sa flotte.
Un tribunal de New York doit se prononcer, toujours aujourd'hui, sur la saisie d'une quarantaine d'avions à la demande des sociétés de leasing, si Varig ne parvient pas à s'acquitter à temps de sa dette.
Le directeur général de TAP Portugal, le Brésilien Fernando Pinto, qui a dirigé Varig jusqu'en 2000, s'est également déclaré prêt à injecter 500 millions de dollars dans le cadre de cette restructuration en échange de 20% du capital de la compagnie dans le cadre de cette restructuration.