
« L’objectif est de faire de l’Aéroport Lyon-Saint Exupéry la seconde porte d’entrée sur le territoire national en développant tous les segments de marché.
Il est question de faire évoluer le positionnement généraliste de l’aéroport en un positionnement multi-spécialiste, la plate-forme traitant ainsi aussi bien une clientèle de correspondance, une clientèle « conventionnelle » mais également une clientèle recherchant les compagnies à service simplifié.
L’aéroport poursuit sa stratégie de développement de « fonds de commerce » en s’appuyant sur les compagnies actuellement présentes. Son trafic passagers progresse de 5,7 % en cumul sur 2005 par rapport à 2004.
Objectif : accroître la part de l’offre des compagnies à bas coût. Le segment de marché d’une offre à bas coût devrait représenter 33 % du trafic en 2010 (source Mercer). Il pèse aujourd’hui 3 % du trafic de Lyon-Saint Exupéry contre 33 % à Genève, 32 % à Nice, 10 % à Marseille et 15 % à Toulouse.
Optimiser l’emploi des infrastructures aéroportuaires
La CCI de Lyon, gestionnaire de l’Aéroport Lyon-Saint Exupéry, soucieuse du service public, veut offrir aux habitants et entreprises de la Ville, du Département et de la grande Région un vrai choix en terme de transportaérien. Par ailleurs, elle souhaite optimiser l’emploi des infrastructures aéroportuaires.
Ainsi, l’actuel Départ 10, bâtiment indépendant actuellement réservé aux vols charters et vols spéciaux, est sous-utilisé. Il sera aménagé pour à peine 1,2 M€ d’investissement.Plus de 1,2 million de passagers sont attendus la première année pleine pour atteindre 1,8 million de passagers en 2010. 200 emplois seront ainsi créés.
D’autre part, les études montrent que 60 % de ce nouveau trafic se feront à l’import. L’économie touristique régionale sera donc fortement impactée, avec des recettes attendues de l’ordre de 90 M€.
Il est question de faire évoluer le positionnement généraliste de l’aéroport en un positionnement multi-spécialiste, la plate-forme traitant ainsi aussi bien une clientèle de correspondance, une clientèle « conventionnelle » mais également une clientèle recherchant les compagnies à service simplifié.
L’aéroport poursuit sa stratégie de développement de « fonds de commerce » en s’appuyant sur les compagnies actuellement présentes. Son trafic passagers progresse de 5,7 % en cumul sur 2005 par rapport à 2004.
Objectif : accroître la part de l’offre des compagnies à bas coût. Le segment de marché d’une offre à bas coût devrait représenter 33 % du trafic en 2010 (source Mercer). Il pèse aujourd’hui 3 % du trafic de Lyon-Saint Exupéry contre 33 % à Genève, 32 % à Nice, 10 % à Marseille et 15 % à Toulouse.
Optimiser l’emploi des infrastructures aéroportuaires
La CCI de Lyon, gestionnaire de l’Aéroport Lyon-Saint Exupéry, soucieuse du service public, veut offrir aux habitants et entreprises de la Ville, du Département et de la grande Région un vrai choix en terme de transportaérien. Par ailleurs, elle souhaite optimiser l’emploi des infrastructures aéroportuaires.
Ainsi, l’actuel Départ 10, bâtiment indépendant actuellement réservé aux vols charters et vols spéciaux, est sous-utilisé. Il sera aménagé pour à peine 1,2 M€ d’investissement.Plus de 1,2 million de passagers sont attendus la première année pleine pour atteindre 1,8 million de passagers en 2010. 200 emplois seront ainsi créés.
D’autre part, les études montrent que 60 % de ce nouveau trafic se feront à l’import. L’économie touristique régionale sera donc fortement impactée, avec des recettes attendues de l’ordre de 90 M€.