
Lorsque l’initiateur de la compagnie, Stelios Hadj-Iannou avait passé une commande ferme de 120 Airbus en octobre 2002, c’était, pour beaucoup d’observateurs, la preuve que cet entrepreneur souffrait de la folie des grandeurs.
Aujourd’hui, alors que la première commande arrive à son terme, ce sont au total 315 appareils que la compagnie attend de l’avionneur européen, dont elle est devenue le premier client européen.
Estimation totale de la commande, six milliards d’euros « dont la moitié de cette somme entre directement dans l’économie française. Ce qui représente 11000 emplois français », se plait à souligner Andy Harrison. Mais où placer tous ces avions ? Le centième A 319 ne restera pas à Paris. Il ira rejoindre sa base de Berlin.
L’ambition d’easyJet à Paris est bel et bien bridée
Car à Paris, l’ambition d’easyJet est bel et bien bridée par le manque de créneaux horaires. Même si un sixième appareil devrait, à terme, venir compléter la flotte de 5 machines basées à Orly, tout cela reste bien modeste au regard des 50 avions d‘easyJet à Londres.
Aujourd’hui, alors que la première commande arrive à son terme, ce sont au total 315 appareils que la compagnie attend de l’avionneur européen, dont elle est devenue le premier client européen.
Estimation totale de la commande, six milliards d’euros « dont la moitié de cette somme entre directement dans l’économie française. Ce qui représente 11000 emplois français », se plait à souligner Andy Harrison. Mais où placer tous ces avions ? Le centième A 319 ne restera pas à Paris. Il ira rejoindre sa base de Berlin.
L’ambition d’easyJet à Paris est bel et bien bridée
Car à Paris, l’ambition d’easyJet est bel et bien bridée par le manque de créneaux horaires. Même si un sixième appareil devrait, à terme, venir compléter la flotte de 5 machines basées à Orly, tout cela reste bien modeste au regard des 50 avions d‘easyJet à Londres.

Andy Harrison
« Au départ d’Orly, il resterait des possibilités de développement sur des villes allemandes, italiennes et espagnoles. Et même sur le sud de la France et sur la Corse. De quoi baser jusqu’à une vingtaine d’avions », estime François Bachetta, le directeur général France.
Une situation d’autant plus regrettable que l’aéroport Orly est « à la fois une plate-forme de qualité mais aussi d’une simplicité d’accès qui le rend idéal pour un « low coster » comme nous », ajoute-il.
Alors où iront les prochains avions neufs qui viendront renforcer la flotte d’easyJet au rythme de un appareil tous les 12 jours ? « Même si les possibilités de développement existe à Orly, nous avons l’embarras du choix en Europe pour baser des avions », prévient Andy Harrison.
easyJet est déjà présente sur 75 aéroports et vingt pays différents d‘Europe. L’objectif est de rester dans le court courrier avec des lignes ne dépassant pas quatre heures de vol.
Une situation d’autant plus regrettable que l’aéroport Orly est « à la fois une plate-forme de qualité mais aussi d’une simplicité d’accès qui le rend idéal pour un « low coster » comme nous », ajoute-il.
Alors où iront les prochains avions neufs qui viendront renforcer la flotte d’easyJet au rythme de un appareil tous les 12 jours ? « Même si les possibilités de développement existe à Orly, nous avons l’embarras du choix en Europe pour baser des avions », prévient Andy Harrison.
easyJet est déjà présente sur 75 aéroports et vingt pays différents d‘Europe. L’objectif est de rester dans le court courrier avec des lignes ne dépassant pas quatre heures de vol.