
La compagnie, propriétaire de 3 appareils (B 767 – 300), ouvrira l’été prochain une nouvelle liaison CDG – Calgary – Vancouver du 11 juin au 29 octobre 2006.
Propriété de 2 frères, Hugh et John Byle, Zoom Airlines a débarqué en France il y a 6 mois. Spécialisée sur la liaison transatlantique entre le Canada et le Royaume Uni, la compagnie annonce un taux de remplissage de 90 % et 12 000 billets vendus.
Un succès que la low cost doit…à son service à bord. « Tous les repas sont compris dans le prix des billets. L’alcool est en sus sauf dans la classe Premium » explique Deborah Marshal, responsable de la compagnie pour la France, mais basée à Londres.
Une classe « business » qui comporte les mêmes avantages que dans n’importe quelle compagnie régulière. « Le passager en Premium, outre les boissons inclues, a droit à un checking séparé, peut enregistrer jusqu’à 90 minutes avant le départ du vol et ses bagages sont prioritaires. »
Accessible via Internet ou un call center basé à Ottawa , les ventes se sont réparties à 70 % sur le Canada et 30 % pour la France. « Nous ne travaillons pas avec les GDS », tient à préciser la responsable.
24 000 passagers en 2006
Mais la compagnie lorgne de plus en plus vers le réseau des agences de voyages. Nous avons rencontrés les réseaux en France et, dans notre stratégie, nous avons également sélectionné 2 ou 3 tour opérateurs », explique Déborah Marshall. Mais la responsable ne les citera pas.
« Nous aimerions, a terme, distribuer via les agences de 10 à 20 % de notre chiffre d’affaires. » Aujourd ’hui, Zoom Airlines commissionne à hauteur de 10 £ (14,74 €) pour la classe éco et 15 £ (22,14 €).
La compagnie, propriétaire de 3 appareils (B 767 – 300), ouvrira l’été prochain une nouvelle liaison CDG – Calgary – Vancouver du 11 juin au 29 octobre 2006. Pour répondre à la demande du marché français, Zoom Airlines disposera bientôt d’un représentant basé à paris à plein temps.
Parallèlement, la compagnie continuera d’appliquer les règles du low cost à savoir la possibilité d’acheter un aller simple, sans règle minimale de séjours et d’avoir un aéroport de retour différent de celui d‘arrivée.
« Nous disposons également du billet électronique », précise Déborah Marshall. Actuellement, le marché français représente environ 10 % du chiffre d’affaires de la compagnie estimés à 100 M$ canadiens ( 70,58 M€). Cette année, Zoom Airlines espère transporter 20 000 passagers. L’an prochain, elle en attend 4 000 de plus.
Un succès que la low cost doit…à son service à bord. « Tous les repas sont compris dans le prix des billets. L’alcool est en sus sauf dans la classe Premium » explique Deborah Marshal, responsable de la compagnie pour la France, mais basée à Londres.
Une classe « business » qui comporte les mêmes avantages que dans n’importe quelle compagnie régulière. « Le passager en Premium, outre les boissons inclues, a droit à un checking séparé, peut enregistrer jusqu’à 90 minutes avant le départ du vol et ses bagages sont prioritaires. »
Accessible via Internet ou un call center basé à Ottawa , les ventes se sont réparties à 70 % sur le Canada et 30 % pour la France. « Nous ne travaillons pas avec les GDS », tient à préciser la responsable.
24 000 passagers en 2006
Mais la compagnie lorgne de plus en plus vers le réseau des agences de voyages. Nous avons rencontrés les réseaux en France et, dans notre stratégie, nous avons également sélectionné 2 ou 3 tour opérateurs », explique Déborah Marshall. Mais la responsable ne les citera pas.
« Nous aimerions, a terme, distribuer via les agences de 10 à 20 % de notre chiffre d’affaires. » Aujourd ’hui, Zoom Airlines commissionne à hauteur de 10 £ (14,74 €) pour la classe éco et 15 £ (22,14 €).
La compagnie, propriétaire de 3 appareils (B 767 – 300), ouvrira l’été prochain une nouvelle liaison CDG – Calgary – Vancouver du 11 juin au 29 octobre 2006. Pour répondre à la demande du marché français, Zoom Airlines disposera bientôt d’un représentant basé à paris à plein temps.
Parallèlement, la compagnie continuera d’appliquer les règles du low cost à savoir la possibilité d’acheter un aller simple, sans règle minimale de séjours et d’avoir un aéroport de retour différent de celui d‘arrivée.
« Nous disposons également du billet électronique », précise Déborah Marshall. Actuellement, le marché français représente environ 10 % du chiffre d’affaires de la compagnie estimés à 100 M$ canadiens ( 70,58 M€). Cette année, Zoom Airlines espère transporter 20 000 passagers. L’an prochain, elle en attend 4 000 de plus.