
Un environnement à la fois moderne et très ludique
Un TGV sur un quai de la gare Saint-Lazare ? La scène est déjà inédite. Et quand ce TGV est la première rame dessinée par Christian Lacroix, c’est carrément un petit événement.
Au lieu de ses traditionnelles voitures corail, la SNCF a effectivement décidé cette année d’emmener les agents de voyages à Top Résa dans une rame nouvelle génération.
A l’extérieur, pas de changements marquants mais à l’intérieur c’est une petite révolution. En seconde classe, les couleurs se veulent chaudes et accueillantes.
Un environnement à la fois moderne et très ludique. Les sièges alternent couleurs rouges et prunes avec une foule de petits gadgets très pratiques : porte-gobelet, liseuse design, porte-revue, repose-pieds et tablettes assorties aux sièges. On apprécie également les nombreux rangements pour les bagages. Dommage en revanche que certaines places, casées entre deux fenêtres soient totalement aveugles.
En première classe, l’ambiance est plus studieuse
En première classe, l’ambiance est plus studieuse, voire austère, avec une teinte générale grise avec quelques sièges de couleur vert pomme qui viennent rompre la monotonie. Côté équipement, il faut noter un point fort : chaque siège est pourvu d’une prise électrique pour brancher un ordinateur portable. En la matière, les passagers de seconde classe devront se contenter de coin bureau, sur les plates-formes.
Le voiture bar a elle aussi subit un lifting complet. Très surprenante, la nouvelle mouture semble sortir tout droit d’un film de science-fiction. D’élégantes tables en verre prune sont posées au milieu de la voiture tandis que le comptoir lui-même, vert très clair, est digne de Star Trek. Pour être complet, une petite visite aux toilettes s’imposent. Là aucune véritable fantaisie. On apprécie toutefois la glace parfaitement bien éclairée.
Au lieu de ses traditionnelles voitures corail, la SNCF a effectivement décidé cette année d’emmener les agents de voyages à Top Résa dans une rame nouvelle génération.
A l’extérieur, pas de changements marquants mais à l’intérieur c’est une petite révolution. En seconde classe, les couleurs se veulent chaudes et accueillantes.
Un environnement à la fois moderne et très ludique. Les sièges alternent couleurs rouges et prunes avec une foule de petits gadgets très pratiques : porte-gobelet, liseuse design, porte-revue, repose-pieds et tablettes assorties aux sièges. On apprécie également les nombreux rangements pour les bagages. Dommage en revanche que certaines places, casées entre deux fenêtres soient totalement aveugles.
En première classe, l’ambiance est plus studieuse
En première classe, l’ambiance est plus studieuse, voire austère, avec une teinte générale grise avec quelques sièges de couleur vert pomme qui viennent rompre la monotonie. Côté équipement, il faut noter un point fort : chaque siège est pourvu d’une prise électrique pour brancher un ordinateur portable. En la matière, les passagers de seconde classe devront se contenter de coin bureau, sur les plates-formes.
Le voiture bar a elle aussi subit un lifting complet. Très surprenante, la nouvelle mouture semble sortir tout droit d’un film de science-fiction. D’élégantes tables en verre prune sont posées au milieu de la voiture tandis que le comptoir lui-même, vert très clair, est digne de Star Trek. Pour être complet, une petite visite aux toilettes s’imposent. Là aucune véritable fantaisie. On apprécie toutefois la glace parfaitement bien éclairée.

En première classe, les avis sont en revanche plus mitigés
« C’est sympa »
Les agents de voyages sont en tout cas pour la plupart tombés sous le charme. A peine assis en seconde classe, un petit groupe d’agents de voyages commente à haute voix les modifications. « C’est sympa », lance une jeune femme. « En plus les couleurs des sièges sont assortis à mon sac à main », plaisante sa voisine.
En première classe, les avis sont en revanche plus mitigés. Le directeur associé du comité de la recherche spatiale n’est pas du tout convaincus : « c’est une profusion chaotique de couleurs et de formes », juge Aaron Janofsky. « Moi je suis séduite », répond une représentante de l’office du tourisme du Québec, « même si c’est dommage qu’il n’y ait pas de crochet pour accrocher les vestes ».
Eric Boitier, responsable de l’agence Planète Latine à Paris, est lui aussi enthousiaste mais il ne peut s’empêcher de relever une contradiction amusante : « au moment où la SNCF annonce la baisse des commissions et où nous sommes incités à moins vendre le train, on nous emmène à Top Résa avec de belles voitures… ». Le clin d’œil a effectivement de quoi faire sourire.
Les agents de voyages sont en tout cas pour la plupart tombés sous le charme. A peine assis en seconde classe, un petit groupe d’agents de voyages commente à haute voix les modifications. « C’est sympa », lance une jeune femme. « En plus les couleurs des sièges sont assortis à mon sac à main », plaisante sa voisine.
En première classe, les avis sont en revanche plus mitigés. Le directeur associé du comité de la recherche spatiale n’est pas du tout convaincus : « c’est une profusion chaotique de couleurs et de formes », juge Aaron Janofsky. « Moi je suis séduite », répond une représentante de l’office du tourisme du Québec, « même si c’est dommage qu’il n’y ait pas de crochet pour accrocher les vestes ».
Eric Boitier, responsable de l’agence Planète Latine à Paris, est lui aussi enthousiaste mais il ne peut s’empêcher de relever une contradiction amusante : « au moment où la SNCF annonce la baisse des commissions et où nous sommes incités à moins vendre le train, on nous emmène à Top Résa avec de belles voitures… ». Le clin d’œil a effectivement de quoi faire sourire.