A l’issue des 3 premiers mois de l’année, le chiffre d’affaires total cumulé s’accroît de 3,5% pour les agences distributrices de voyages.
Alors que la billetterie n'a augmenté que d'un petit 1 %, la revente de voyages à forfait affiche + 3,6 % et rettrape le retard du début d'année. Sur le premier trimestre 2005, le c.a. des agences distributrices de voyages progresse de 3,5 %.
Selon le dernier bilan du mois de mars établit par le Centre d'Observation Economique (COE), le chiffre d’affaires en valeur des agences de voyages progresse de 2,2 % en mars 2005 par rapport à mars 2004.
La billetterie augmente de 1,0 % et celui des voyages à forfait de 3,6 % sur cette même période.
Après deux mois de baisse consécutives (- 0,2 % en janvier et - 2,4 % en février), la dynamique de l’activité a été le seul fait de le revente de voyages à forfait.
Dans le même temps remarque le COE, les prix en mars 2005 sont restés stables par rapport à mars 2004.
La vente a forfait stagne depuis le début de l'année
" L’évolution de l’activité en ce début d’année est assez faible avec toutefois une tendance orientée à la hausse " analyse néanmoins l'organisme.
A l’issue des 3 premiers mois de l’année, le chiffre d’affaires total cumulé s’accroît de 3,5%, la billetterie progressant de 3,7%, la vente de voyages à forfait de 0,1% et le poste divers de 11,1%. Vente s de forfaits en panne en agence, ce n'est pas le cas pour les agences en ligne.
Internet grignote des parts dans les forfaits
"Depuis maintenant un an, on observe un phénomène qu'on n'avait jamais vu auparavant", explique Fabien Bourdier, Directeur Général d’Expedia France. "Si Internet a d'abord été utilisé pour les vdm et donc un prix, depuis le mois de mai 2004, ce segment qui représentait plus d'une vente sur deux n'est plus majoritaire."
Selon le directeur général d'Expedia, les ventes de voyages préparés et achetés très longtemps à l'avance sont désormais en tête des ventes. "Le consommateur internaute arrive à maturité, il maîtrise mieux l'outil."
Marketing de l'offre contre marketing de la demande
Des propos que partage Frédéric Vanhoutte, le patron de Level.com (voir interview). Pour Fabien Bourdier, les clefs de la réussite de la toile résident dans l'approche marketing.
"Pendant des années, les clients n'avient pas le choix. Ils devaient rentrer dans les cases fixées par les TO. Aujourd'hui, ils ont le choix. "
Et c'est toute cette différence qui explique que le net grignote chaque davantage de morceau du gateau. "En shématisant, on pourrait opposer une stratégie de l'offre appliquée par les agences classiques à une stratégie de la demande proposée par les agences en ligne." Et d'après vous, quelle est la stratégie gagnante ?
Hervé Ducruet - herve.ducruet@tourmag.com
Selon le dernier bilan du mois de mars établit par le Centre d'Observation Economique (COE), le chiffre d’affaires en valeur des agences de voyages progresse de 2,2 % en mars 2005 par rapport à mars 2004.
La billetterie augmente de 1,0 % et celui des voyages à forfait de 3,6 % sur cette même période.
Après deux mois de baisse consécutives (- 0,2 % en janvier et - 2,4 % en février), la dynamique de l’activité a été le seul fait de le revente de voyages à forfait.
Dans le même temps remarque le COE, les prix en mars 2005 sont restés stables par rapport à mars 2004.
La vente a forfait stagne depuis le début de l'année
" L’évolution de l’activité en ce début d’année est assez faible avec toutefois une tendance orientée à la hausse " analyse néanmoins l'organisme.
A l’issue des 3 premiers mois de l’année, le chiffre d’affaires total cumulé s’accroît de 3,5%, la billetterie progressant de 3,7%, la vente de voyages à forfait de 0,1% et le poste divers de 11,1%. Vente s de forfaits en panne en agence, ce n'est pas le cas pour les agences en ligne.
Internet grignote des parts dans les forfaits
"Depuis maintenant un an, on observe un phénomène qu'on n'avait jamais vu auparavant", explique Fabien Bourdier, Directeur Général d’Expedia France. "Si Internet a d'abord été utilisé pour les vdm et donc un prix, depuis le mois de mai 2004, ce segment qui représentait plus d'une vente sur deux n'est plus majoritaire."
Selon le directeur général d'Expedia, les ventes de voyages préparés et achetés très longtemps à l'avance sont désormais en tête des ventes. "Le consommateur internaute arrive à maturité, il maîtrise mieux l'outil."
Marketing de l'offre contre marketing de la demande
Des propos que partage Frédéric Vanhoutte, le patron de Level.com (voir interview). Pour Fabien Bourdier, les clefs de la réussite de la toile résident dans l'approche marketing.
"Pendant des années, les clients n'avient pas le choix. Ils devaient rentrer dans les cases fixées par les TO. Aujourd'hui, ils ont le choix. "
Et c'est toute cette différence qui explique que le net grignote chaque davantage de morceau du gateau. "En shématisant, on pourrait opposer une stratégie de l'offre appliquée par les agences classiques à une stratégie de la demande proposée par les agences en ligne." Et d'après vous, quelle est la stratégie gagnante ?
Hervé Ducruet - herve.ducruet@tourmag.com
