Pour Karl-Ludwig Kley, directeur financier de Lufthansa,
Relancé sur les bruits et rumeurs de vente autour de Thomas Cook, Lufthansa, actionnaire à hauteur de 50 % a apporté une réponse qui se veut sans détour. "Cela n'est pas à l'ordre du jour", a déclaré son directeur financier, Karl-Ludwig Kley.
"Il n'y a que des choses positives à dire en ce moment à propos de Thomas Cook. Les affaires tournent bien et il n'y a rien de nouveau à dire. Thomas Cook va finaliser son redressement et retrouver la rentabilité cette année ", a-t-il ajouté, estimant que les spéculations autour de Thomas Cook prouvaient que l'entreprise était de nouveau "prise au sérieux".
Condor n'est pas à vendre
Le numéro un européen du tourisme, l'allemand TUI, a contribué cette semaine à les relancer plus que sérieusement en n'excluant pas d'acheter certains actifs de Thomas Cook.
Le directeur financier de Lufthansa a répondu que si TUI visait par là la compagnie aérienne charter de Thomas Cook, Condor, leader du secteur en Allemagne, il n'en était pas question. "Condor n'est pas à vendre, c'est une entreprise de premier ordre", a déclaré Karl-Ludwig Kley.
En revanche, le directeur financier n'a pas complètement exclu une cession à TUI des hôtels-clubs Aldiana, qui selon les récentes déclarations du président du directoire de TUI, Michael Frenzel, "iraient bien avec le portefeuille" de son groupe.
En négociation pour la vente des hotels club Aldiana
Selon des sources financières citées dans la presse, Thomas Cook serait toutefois déjà en négociations exclusives pour vendre Aldiana au fonds américain Advent International.
Le marché financier spécule depuis longtemps déjà sur une sortie des deux actionnaires de leur filiale, qui a accusé en 2003/04 une perte nette annuelle de 175,9 millions d'euros, après un trou l'exercice précédent de 253,4 M EUR.
Thomas Cook est une joint-venture à 50/50 entre Lufthansa et le groupe de distribution allemand KarstadtQuelle. Lequel ne va pas bien et songerait désormais, suite au débarquement de son président Christoph Achenbach en mars dernier, à se séparer de ses actifs Thomas Cook.
La Rédaction (hd) - redaction@tourmag.com
"Il n'y a que des choses positives à dire en ce moment à propos de Thomas Cook. Les affaires tournent bien et il n'y a rien de nouveau à dire. Thomas Cook va finaliser son redressement et retrouver la rentabilité cette année ", a-t-il ajouté, estimant que les spéculations autour de Thomas Cook prouvaient que l'entreprise était de nouveau "prise au sérieux".
Condor n'est pas à vendre
Le numéro un européen du tourisme, l'allemand TUI, a contribué cette semaine à les relancer plus que sérieusement en n'excluant pas d'acheter certains actifs de Thomas Cook.
Le directeur financier de Lufthansa a répondu que si TUI visait par là la compagnie aérienne charter de Thomas Cook, Condor, leader du secteur en Allemagne, il n'en était pas question. "Condor n'est pas à vendre, c'est une entreprise de premier ordre", a déclaré Karl-Ludwig Kley.
En revanche, le directeur financier n'a pas complètement exclu une cession à TUI des hôtels-clubs Aldiana, qui selon les récentes déclarations du président du directoire de TUI, Michael Frenzel, "iraient bien avec le portefeuille" de son groupe.
En négociation pour la vente des hotels club Aldiana
Selon des sources financières citées dans la presse, Thomas Cook serait toutefois déjà en négociations exclusives pour vendre Aldiana au fonds américain Advent International.
Le marché financier spécule depuis longtemps déjà sur une sortie des deux actionnaires de leur filiale, qui a accusé en 2003/04 une perte nette annuelle de 175,9 millions d'euros, après un trou l'exercice précédent de 253,4 M EUR.
Thomas Cook est une joint-venture à 50/50 entre Lufthansa et le groupe de distribution allemand KarstadtQuelle. Lequel ne va pas bien et songerait désormais, suite au débarquement de son président Christoph Achenbach en mars dernier, à se séparer de ses actifs Thomas Cook.
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