Selon l'édition en ligne de "Nord-Eclair", (LIRE) la CFDT, syndicat majoritaire de la compagnie, refuse de signer un accord sur le plan de redressement de la filiale maritime de la SNCF, malgré un ultimatum lancé par cette dernière et qui expire ce lundi à minuit.
La signature de ce plan, prévoit la suppression de 543 postes sur 650 et le reclassement de 413 salariés au sein de la SNCF.
Il achoppe sur l'armement de l'un des navires, « le Nord/Pas-de-Calais », selon la CFDT, qui demande à la direction d'« améliorer l'effectif hôtellerie » prévu sur ce bateau.
La direction de SeaFrance, ne se prononce pas sur un éventuel retrait du plan de redressement proposé. Une porte-parole a toutefois estimé que si la CFDT ne signait pas le plan, « il y a beaucoup de choses qui seront remises en cause ». Elle n'exclut pas non plus une "diparition" de la compagnie.
La signature de ce plan, prévoit la suppression de 543 postes sur 650 et le reclassement de 413 salariés au sein de la SNCF.
Il achoppe sur l'armement de l'un des navires, « le Nord/Pas-de-Calais », selon la CFDT, qui demande à la direction d'« améliorer l'effectif hôtellerie » prévu sur ce bateau.
La direction de SeaFrance, ne se prononce pas sur un éventuel retrait du plan de redressement proposé. Une porte-parole a toutefois estimé que si la CFDT ne signait pas le plan, « il y a beaucoup de choses qui seront remises en cause ». Elle n'exclut pas non plus une "diparition" de la compagnie.