Adriana Minchella n’y va pas par quatre chemins : ne pas soutenir un des rares TO qui joue à fond la carte du B2B c’est se tirer une balle dans le pied. Adriana Minchella, "Arrêter de vendre STI, c’est amorcer sa disparition!"
C’est d’ailleurs aussi la position d’AS Voyages qui a dit jouer la carte de la solidarité avec le voyagiste, alors que TourCom a répondu par la négative.
Il est certain qu’en arrêtant ou incitant à arrêter les ventes du TO on le condamne inéluctablement.
D’un autre côté, on peut légitimement s’interroger sur le fait de savoir si les difficultés du producteur sont seulement “passagères” et si les actionnaires égyptiens remettront au “pot”.
Quoi qu’il en soit, la décision revient, in fine, aux agents de voyages. Autrement dit ce sont eux qui décideront du “stop ou encore” du spécialiste de l’Egypte.
C’est cet avis effectif que nous avons voulu connaître avec ce sondage absolument anonyme et qui devrait nous donner le pouls de la profession d’ici la fin de la semaine.
Alors, proposez-vous toujours les produits STI à vos clients ? Réponse dans toutes les pages de votre portail favori (col de droite).
C’est d’ailleurs aussi la position d’AS Voyages qui a dit jouer la carte de la solidarité avec le voyagiste, alors que TourCom a répondu par la négative.
Il est certain qu’en arrêtant ou incitant à arrêter les ventes du TO on le condamne inéluctablement.
D’un autre côté, on peut légitimement s’interroger sur le fait de savoir si les difficultés du producteur sont seulement “passagères” et si les actionnaires égyptiens remettront au “pot”.
Quoi qu’il en soit, la décision revient, in fine, aux agents de voyages. Autrement dit ce sont eux qui décideront du “stop ou encore” du spécialiste de l’Egypte.
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