
Le Corail cèdera-t-il dace à l'option TGV ? Domniniuqe Perben s'est clairement opposé hier sur Europe 1 à la fermeture pure et simple.
"Les choses ont été clairement dites : je ne veux pas que des lignes soient purement et simplement supprimées", a assuré Dominique Perben sur Europe 1.
"Ce qui est indispensable, c'est d'adapter les horaires, d'adapter éventuellement les fréquences, parce que certains trains sont presque vides et coûtent très cher à la SNCF. Mais il faut le faire dans la concertation. J'ai donc demandé au président de la SNCF de revoir les présidents de région", a ajouté le ministre.
Les présidents de région socialistes avaient envoyé jeudi un télégramme au Premier ministre pour lui demander "le maintien de tous les trains Corail" menacés par des réductions de dessertes envisagées par la SNCF.
Dominique de Villepin confirme
Dans un communiqué publié mardi, le ministère de l'Equipement précise que les lignes dont Dominique Perben a demandé à Louis Gallois le maintien sont les liaisons Caen-Le Mans-Tours, Nantes-Lyon et Quimper-Nantes-Bordeaux-Toulouse.
Leur fréquentation est en baisse de 20% depuis 1998, du fait notamment d'un report de cette fréquentation vers les trains express régionaux (TER) et les TGV, précise le ministère.
Louis Gallois a informé Dominique Perben que la SNCF préparait un "important programme d'investissement sur les lignes TIR".
Sur Europe 1, le ministre des Transports s'est également efforcé de rassurer les présidents de région en assurant qu'il n'était "pas question pour le gouvernement d'ouvrir un nouveau dossier de décentralisation et de donner aux régions la responsabilité des trains interrégionaux".
"Ce dossier n'est absolument pas à l'ordre du jour", a déclaré Dominique Perben, qui a précisé qu'il recevrait l'Association des régions de France d'ici fin septembre, avec le ministre délégué à l'Aménagement du territoire Christian Estrosi, pour faire un "point d'ensemble" sur ce dossier.
"Le but, c'est que les trains soient utiles, qu'il y ait des usagers dedans et que ça ne soit pas trop lourd pour la SNCF", a-t-il conclu. "Mon but, c'est (...) de faire en sorte que le train soit accessible et qu'on puisse le plus possible utiliser la voie ferrée plutôt que la voiture. J'espère qu'on va arriver à un résultat gagnant-gagnant, gagnant pour l'usager et aussi gagnant pour la SNCF."
"Ce qui est indispensable, c'est d'adapter les horaires, d'adapter éventuellement les fréquences, parce que certains trains sont presque vides et coûtent très cher à la SNCF. Mais il faut le faire dans la concertation. J'ai donc demandé au président de la SNCF de revoir les présidents de région", a ajouté le ministre.
Les présidents de région socialistes avaient envoyé jeudi un télégramme au Premier ministre pour lui demander "le maintien de tous les trains Corail" menacés par des réductions de dessertes envisagées par la SNCF.
Dominique de Villepin confirme
Dans un communiqué publié mardi, le ministère de l'Equipement précise que les lignes dont Dominique Perben a demandé à Louis Gallois le maintien sont les liaisons Caen-Le Mans-Tours, Nantes-Lyon et Quimper-Nantes-Bordeaux-Toulouse.
Leur fréquentation est en baisse de 20% depuis 1998, du fait notamment d'un report de cette fréquentation vers les trains express régionaux (TER) et les TGV, précise le ministère.
Louis Gallois a informé Dominique Perben que la SNCF préparait un "important programme d'investissement sur les lignes TIR".
Sur Europe 1, le ministre des Transports s'est également efforcé de rassurer les présidents de région en assurant qu'il n'était "pas question pour le gouvernement d'ouvrir un nouveau dossier de décentralisation et de donner aux régions la responsabilité des trains interrégionaux".
"Ce dossier n'est absolument pas à l'ordre du jour", a déclaré Dominique Perben, qui a précisé qu'il recevrait l'Association des régions de France d'ici fin septembre, avec le ministre délégué à l'Aménagement du territoire Christian Estrosi, pour faire un "point d'ensemble" sur ce dossier.
"Le but, c'est que les trains soient utiles, qu'il y ait des usagers dedans et que ça ne soit pas trop lourd pour la SNCF", a-t-il conclu. "Mon but, c'est (...) de faire en sorte que le train soit accessible et qu'on puisse le plus possible utiliser la voie ferrée plutôt que la voiture. J'espère qu'on va arriver à un résultat gagnant-gagnant, gagnant pour l'usager et aussi gagnant pour la SNCF."