"Il y a 21 points de revendication, ce qui montre qu'il y a un malaise au sein de la société", a déclaré à Tahitipresse le secrétaire général adjoint du syndicat O Oe To Oe Rima, Eugène Sommers.
Outre une revalorisation des salaires, une modification des indemnités de départ à la retraite et la participation de représentants du personnel au conseil d'administration, c'est surtout un meilleur partage des fruits de la croissance de l'entreprise que désirent les salariés mécontents.
"La société Air Tahiti fait des bénéfices. Elle a distribué des dividendes à hauteur d'un milliard Fcfp - environ 8,3 millions d'euros - depuis huit ans pour divers actionnaires. Les salariés demandent juste un petit plus car, sans eux, la compagnie ne marcherait pas", a souligné Eugène Sommers.
Les salariés demandent juste un petit plus...
Suite aux discussions engagées lundi avec la direction, les deux parties ont pu s'entendre sur "deux ou trois revendications", comme la mise en place de longs week-ends et le respect des horaires de base.
"Ils – ndlr la direction - nous ont aussi proposé une augmentation des grilles salariales. Nous ne sommes pas vraiment d'accord sur ce projet. Nous allons leur faire une autre proposition", a indiqué Eugène Sommers.
Une nouvelle rencontre devrait avoir lieu, mercredi, en début de matinée. En cas d'échec des négociations, la grève sera effective jeudi à zéro heure.
"La balle est dans le camps de la direction. Si elle ne nous donne pas satisfaction sur une grande partie de nos revendications, le personnel se mettra en grève", a expliqué Eugène Sommers.
Outre une revalorisation des salaires, une modification des indemnités de départ à la retraite et la participation de représentants du personnel au conseil d'administration, c'est surtout un meilleur partage des fruits de la croissance de l'entreprise que désirent les salariés mécontents.
"La société Air Tahiti fait des bénéfices. Elle a distribué des dividendes à hauteur d'un milliard Fcfp - environ 8,3 millions d'euros - depuis huit ans pour divers actionnaires. Les salariés demandent juste un petit plus car, sans eux, la compagnie ne marcherait pas", a souligné Eugène Sommers.
Les salariés demandent juste un petit plus...
Suite aux discussions engagées lundi avec la direction, les deux parties ont pu s'entendre sur "deux ou trois revendications", comme la mise en place de longs week-ends et le respect des horaires de base.
"Ils – ndlr la direction - nous ont aussi proposé une augmentation des grilles salariales. Nous ne sommes pas vraiment d'accord sur ce projet. Nous allons leur faire une autre proposition", a indiqué Eugène Sommers.
Une nouvelle rencontre devrait avoir lieu, mercredi, en début de matinée. En cas d'échec des négociations, la grève sera effective jeudi à zéro heure.
"La balle est dans le camps de la direction. Si elle ne nous donne pas satisfaction sur une grande partie de nos revendications, le personnel se mettra en grève", a expliqué Eugène Sommers.
