Le résultat de l’activité billetterie aérienne pour le mois de juin est désormais enregistré par le BSP.
En volume d’affaires, la progression se monte à + 9,40% tandis qu’un nombre de documents émis, la progression se situe à + 10,04%.
L’émission plus importante de documents est encore liée directement aux remboursements de billets liés à l’éruption du volcan islandais du mois d’avril qui avait totalement paralysé le transport aérien pendant cinq jours.
La progression 9,40% du volume d’affaires est donc encourageante.
D’autant qu’elle confirme - hormis l’épisode du volcan en avril - une reprise de plus en plus affirmée de l’activité.
En effet, si la billetterie aérienne de janvier montrait une stagnation par rapport à janvier 2009 avec un volume étal de + 0,53%, février affichait + 3,74%, mars + 7,20 %, avril + 2,60 %, mai + 9,33%.
Avec + 9,40%, le mois de juin confirme donc le rebond enregistré en mai.
Pour autant, le niveau du mois de juin 2008 - le premier mois de baisse de l’activité liée directement à la crise économique mondiale - n’a pas encore été atteint.
L’activité remonte la pente mais elle n’a pas encore renoué avec les niveaux d’avant-crise.
En volume d’affaires, la progression se monte à + 9,40% tandis qu’un nombre de documents émis, la progression se situe à + 10,04%.
L’émission plus importante de documents est encore liée directement aux remboursements de billets liés à l’éruption du volcan islandais du mois d’avril qui avait totalement paralysé le transport aérien pendant cinq jours.
La progression 9,40% du volume d’affaires est donc encourageante.
D’autant qu’elle confirme - hormis l’épisode du volcan en avril - une reprise de plus en plus affirmée de l’activité.
En effet, si la billetterie aérienne de janvier montrait une stagnation par rapport à janvier 2009 avec un volume étal de + 0,53%, février affichait + 3,74%, mars + 7,20 %, avril + 2,60 %, mai + 9,33%.
Avec + 9,40%, le mois de juin confirme donc le rebond enregistré en mai.
Pour autant, le niveau du mois de juin 2008 - le premier mois de baisse de l’activité liée directement à la crise économique mondiale - n’a pas encore été atteint.
L’activité remonte la pente mais elle n’a pas encore renoué avec les niveaux d’avant-crise.