L’industrie du tourisme a exprimé de sérieuses préoccupations lorsque la Commission européenne a adopté une proposition législative pour un Code commun sur les visas en juillet 2006; reconnaissant que la proposition apporterait une clarté et transparence accrues, ainsi qu’une application uniforme des procédures de visa parmi les consulats dans les Etats tiers, l’industrie avait néanmoins des inquiétudes concernant les nouvelles dispositions qui dissuaderaient de nombreux ressortissants de pays tiers de faire un voyage en Europe.
Les deux points les plus controversés concernent une augmentation des frais de visas de 35€ à 60€ à partir du 1er janvier 2007, ainsi que l’obligation de faire la demande de visa en personne dans les consulats, en raison des futures exigences sur la fourniture d’éléments d’identification biométrique.
Le projet de rapport au Parlement européen du Député Henrik Lax propose une approche plus pragmatique sur le code commun des visas. En vue d’un équilibre entre la nécessité de combattre l’immigration illégale et la criminalité par rapport à la promotion du franchissement légitime des frontières, comme dans le cadre du tourisme, des propositions ont été mises sur la table pour faciliter les demandes de visa tout en maintenant des mesures de lutte contre la criminalité et les activités illégales liés au franchissement des frontières de la zone Schengen.
ECTAA salue les diverses dispositions qui visent à réduire le coût global des visas, telle que la réduction des frais au niveau initial de 35€, ou l’exonération de visa pour les enfants jusqu’à 12 ans. Elle approuve également toutes les dispositions qui facilitent les demandes de visa, telle que la création d’un site Internet commun sur les visas Schengen ou le fait de permettre aux ressortissants de pays tiers d’adresser la demande de visa au consulat de n’importe quel Etat de la zone Schengen, si le consulat du pays visité est trop éloigné.
"Il est inconcevable qu’une famille de quatre doive payer des frais de visa allant jusqu’à 240€, sans compter l’assurance médicale, le coût du voyage pour obtenir un visa, etc." a expliqué le Président de ECTAA Jan Van Steen, qui ajoute que "tout en reconnaissant la nécessité d’une politique des visas efficace, nous ne devons pas donner l’impression que l’Europe est hostile aux visiteurs des pays tiers qui ont des raisons légitimes de voyager en Europe, comme le tourisme de loisir ou d’affaires".
Les deux points les plus controversés concernent une augmentation des frais de visas de 35€ à 60€ à partir du 1er janvier 2007, ainsi que l’obligation de faire la demande de visa en personne dans les consulats, en raison des futures exigences sur la fourniture d’éléments d’identification biométrique.
Le projet de rapport au Parlement européen du Député Henrik Lax propose une approche plus pragmatique sur le code commun des visas. En vue d’un équilibre entre la nécessité de combattre l’immigration illégale et la criminalité par rapport à la promotion du franchissement légitime des frontières, comme dans le cadre du tourisme, des propositions ont été mises sur la table pour faciliter les demandes de visa tout en maintenant des mesures de lutte contre la criminalité et les activités illégales liés au franchissement des frontières de la zone Schengen.
ECTAA salue les diverses dispositions qui visent à réduire le coût global des visas, telle que la réduction des frais au niveau initial de 35€, ou l’exonération de visa pour les enfants jusqu’à 12 ans. Elle approuve également toutes les dispositions qui facilitent les demandes de visa, telle que la création d’un site Internet commun sur les visas Schengen ou le fait de permettre aux ressortissants de pays tiers d’adresser la demande de visa au consulat de n’importe quel Etat de la zone Schengen, si le consulat du pays visité est trop éloigné.
"Il est inconcevable qu’une famille de quatre doive payer des frais de visa allant jusqu’à 240€, sans compter l’assurance médicale, le coût du voyage pour obtenir un visa, etc." a expliqué le Président de ECTAA Jan Van Steen, qui ajoute que "tout en reconnaissant la nécessité d’une politique des visas efficace, nous ne devons pas donner l’impression que l’Europe est hostile aux visiteurs des pays tiers qui ont des raisons légitimes de voyager en Europe, comme le tourisme de loisir ou d’affaires".
ECTAA regroupe les associations nationales des agents et organisateurs de voyages de l’UE de 29 pays européens, parmi lesquels 25 font partie de l’Union européenne. Elle représente globalement 80 000 entreprises.
www.ectaa.org
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