Comme sa concurrente Air India, Jet Airways a bien souffert cette année sur le marché français.
La faute tout d’abord au cafouillage sur les visas.
« Cette confusion a bien refroidi les tour-opérateurs ainsi que les voyageurs d’affaires. Ils ont préféré une réunion via skype plutôt qu’un déplacement. Cela a porté un grave coup à notre première année d’exploitation », se désole Michel Simiaut, le directeur général France.
Entre septembre 2014 et août 2015, la compagnie a tout de même transporté 143 000 passagers, avec un taux d’occupation de 83%.
La faute tout d’abord au cafouillage sur les visas.
« Cette confusion a bien refroidi les tour-opérateurs ainsi que les voyageurs d’affaires. Ils ont préféré une réunion via skype plutôt qu’un déplacement. Cela a porté un grave coup à notre première année d’exploitation », se désole Michel Simiaut, le directeur général France.
Entre septembre 2014 et août 2015, la compagnie a tout de même transporté 143 000 passagers, avec un taux d’occupation de 83%.
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Mais le yield a bien souffert sur le marché.
Il faut désormais 4 passagers pour engranger le même revenu qu'avec deux passagers autrefois.
La chute du coupon moyen s’établit à 15%, tout comme la réduction du trafic entre la France et l’Inde.
Pour redresser la barre, Jet Airways compte percer sur le marché corporate, ce qui prend du temps.
Michel Simiaut souhaite passer à la vitesse supérieure car il n’a pour l’instant atteint que 60% de ses objectifs en terme de contrats corporate.
Il estime que c’est en remplissant l’avant de sa cabine qu’il pourra rentabiliser la ligne et développer ses capacités.
Il faut désormais 4 passagers pour engranger le même revenu qu'avec deux passagers autrefois.
La chute du coupon moyen s’établit à 15%, tout comme la réduction du trafic entre la France et l’Inde.
Pour redresser la barre, Jet Airways compte percer sur le marché corporate, ce qui prend du temps.
Michel Simiaut souhaite passer à la vitesse supérieure car il n’a pour l’instant atteint que 60% de ses objectifs en terme de contrats corporate.
Il estime que c’est en remplissant l’avant de sa cabine qu’il pourra rentabiliser la ligne et développer ses capacités.