Offre duo sur Washington : la ligne lancée en mai dernier affiche un taux de remplissage moyen de 60%
Lorsque l’opération a été lancée il y a un mois et demi, elle en a étonné plus d’un.
C’était en effet une première dans le monde de l’aérien que de promettre de rembourser le billet aux mécontents. Il fallait vraiment être sûr de son produit !
Mais les enquêtes de satisfaction menées auprès des passagers laissaient envisager le meilleur : sur 4200 clients interrogés, 96% étaient non seulement satisfaits mais étaient également prêts à recommander la compagnie autour d’eux.
« Pour nous, le bouche à oreille est un élément extrêmement important », explique Jean-Charles Périno, le directeur commercial.
A partir de ce taux de satisfaction, le risque était donc limité d’avoir de nombreux billets à rembourser sur cette opération. Et de fait, Openskies enregistré trois dossiers en un mois et demi d’opération.
« Si le ratio reste ce qu’il est actuellement, je serai content. Bien sûr, ces trois passagers auront voyagé gratuitement mais je suis persuadé que s’ils refont un voyage transatlantique, ils penseront à nous ».
« Le message de l’opération était double.
Pour ceux qui nous connaissent déjà, c’était de les inciter à continuer à voyager avec nous et pour ceux qui ne nous connaissaient pas, c’était une occasion unique de nous tester », résume Jean-Charles Périno.
C’était en effet une première dans le monde de l’aérien que de promettre de rembourser le billet aux mécontents. Il fallait vraiment être sûr de son produit !
Mais les enquêtes de satisfaction menées auprès des passagers laissaient envisager le meilleur : sur 4200 clients interrogés, 96% étaient non seulement satisfaits mais étaient également prêts à recommander la compagnie autour d’eux.
« Pour nous, le bouche à oreille est un élément extrêmement important », explique Jean-Charles Périno, le directeur commercial.
A partir de ce taux de satisfaction, le risque était donc limité d’avoir de nombreux billets à rembourser sur cette opération. Et de fait, Openskies enregistré trois dossiers en un mois et demi d’opération.
« Si le ratio reste ce qu’il est actuellement, je serai content. Bien sûr, ces trois passagers auront voyagé gratuitement mais je suis persuadé que s’ils refont un voyage transatlantique, ils penseront à nous ».
« Le message de l’opération était double.
Pour ceux qui nous connaissent déjà, c’était de les inciter à continuer à voyager avec nous et pour ceux qui ne nous connaissaient pas, c’était une occasion unique de nous tester », résume Jean-Charles Périno.
« C’était une occasion unique de nous tester...»
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Quant à la connaissance du produit en agence de voyages, elle évolue, elle aussi favorablement.
Si le ratio de vente directe reste de 55% pour 45% de vente en agences, les prises de part de marché en entreprises font entrer le produit chez les distributeurs.
Autre opération de communication en cours actuellement, l’offre duo sur Washington. Une offre qui, de l’aveu du directeur commercial, fonctionne mieux de l’autre côté de l’Atlantique.
Une situation somme toutes logique puisque la compagnie table sur un remplissage de 60% en provenance des États-Unis pour 40% en provenance de France.
La ligne lancée en mai dernier continue sa montée en puissance avec, actuellement, un taux de remplissage moyen de 60%.
« La perception de la route est encourageante mais il faut entre 12 et 18 mois pour installer véritablement une opération ». Ce qui est fait désormais avec la ligne de New York, profitable depuis quelques mois.
Open skies a annoncé il y a quelques mois son intention d’ouvrir une troisième ligne transatlantique.
« Entre Chicago, Boston ou Montreal, nous continuons d’analyser les routes pour prendre une décision au cours de cet automne. Et nous commencerons les opérations en début d’année prochaine », indique Jean-Charles Périno.
« Il faut un bon mix Loisirs et Affaires, un potentiel de clientèle important des deux côtés de la ligne. Il faut aussi un bon environnement. Et puis, la concurrence, c’est un facteur-clé que nous étudions ».
Pour autant, l’A380 d’Air France sur Montreal ne serait pas un facteur rédhibitoire. La concurrence de l’A380 est déjà présente sur la ligne de New-York…
Si le ratio de vente directe reste de 55% pour 45% de vente en agences, les prises de part de marché en entreprises font entrer le produit chez les distributeurs.
Autre opération de communication en cours actuellement, l’offre duo sur Washington. Une offre qui, de l’aveu du directeur commercial, fonctionne mieux de l’autre côté de l’Atlantique.
Une situation somme toutes logique puisque la compagnie table sur un remplissage de 60% en provenance des États-Unis pour 40% en provenance de France.
La ligne lancée en mai dernier continue sa montée en puissance avec, actuellement, un taux de remplissage moyen de 60%.
« La perception de la route est encourageante mais il faut entre 12 et 18 mois pour installer véritablement une opération ». Ce qui est fait désormais avec la ligne de New York, profitable depuis quelques mois.
Open skies a annoncé il y a quelques mois son intention d’ouvrir une troisième ligne transatlantique.
« Entre Chicago, Boston ou Montreal, nous continuons d’analyser les routes pour prendre une décision au cours de cet automne. Et nous commencerons les opérations en début d’année prochaine », indique Jean-Charles Périno.
« Il faut un bon mix Loisirs et Affaires, un potentiel de clientèle important des deux côtés de la ligne. Il faut aussi un bon environnement. Et puis, la concurrence, c’est un facteur-clé que nous étudions ».
Pour autant, l’A380 d’Air France sur Montreal ne serait pas un facteur rédhibitoire. La concurrence de l’A380 est déjà présente sur la ligne de New-York…