Durant la première journée de ce séminaire consacré aux transports terrestres, divers problèmes ont été évoqués autour de trois grands axes: les bus, les taxis et les chauffeurs, qui font en même temps office de guide, ce qui se fait d'ailleurs souvent au détriment de la sécurité routière.
De nombreuses carences ont été soulignées par différents professionnels du tourisme, dont notamment le manque de bus après 16 heures, le peu d'arrêts de bus, l'esthétique des bus ou encore le manque d'informations sur les plages horaires de ces derniers.
Pour ce problème, il a été proposé d'élargir les plages horaires en négociant directement avec les transports en commun pour une autre organisation tout en informant aussi la population sur les horaires des bus.
Les arrêts de bus, quant à eux, seront recensés et améliorés esthétiquement puisque "100 millions Fcfp (moins d'1 million d'euros) seront consacrés aux arrêts de bus afin de les améliorer dans un style local", a indiqué le représentant du ministère des transports, Joël Hart.
Chauffeur ou guide, il faut choisir
A Tahiti, il existe des chauffeurs de bus qui font également office de guide alors qu'ils transportent plus d'une quinzaine de personnes. "Il est difficile de conduire et de raconter en même temps l'histoire des différents sites de l'île", a déclaré un "chauffeur-guide" de bus qui estime qu'il manque des guides à Tahiti. Cela dit, Joël Hart estime qu'il existe bien des guides potentiels à Tahiti et a ainsi proposé au GIE Tahiti Manava de faire un recensement des guides.
"Nous sommes en train de voir avec le juriste du ministère des Transports pour la création d'un règlement qui consisterait à obliger les bus ayant un certain nombre de places, à avoir à la fois un chauffeur et un guide", a expliqué Joël Hart, en affirmant que la sécurité passe avant toute chose.
Moorea: la concurrence des commerces
A Moorea (îles du Vent), un conflit datant de plusieurs années s'amplifie de jour en jour pour le transport des touristes. En effet, les taxis se plaignent des prestations gratuites de transport offertes par les bijoutiers et les restaurants afin d'attirer la clientèle dans leur commerce.
Une technique d'approche sans doute bénéfique pour les commerces mais très négative pour les chauffeurs de taxi. Le ministère des Transports est conscient de cela et prévoit de faire un déplacement à Moorea le mois prochain, avec notamment des gendarmes et des magistrats, afin de régler ce problème. En outre, selon le représentant du ministère, une révision de la réglementation est aussi à l'étude.
De nombreuses carences ont été soulignées par différents professionnels du tourisme, dont notamment le manque de bus après 16 heures, le peu d'arrêts de bus, l'esthétique des bus ou encore le manque d'informations sur les plages horaires de ces derniers.
Pour ce problème, il a été proposé d'élargir les plages horaires en négociant directement avec les transports en commun pour une autre organisation tout en informant aussi la population sur les horaires des bus.
Les arrêts de bus, quant à eux, seront recensés et améliorés esthétiquement puisque "100 millions Fcfp (moins d'1 million d'euros) seront consacrés aux arrêts de bus afin de les améliorer dans un style local", a indiqué le représentant du ministère des transports, Joël Hart.
Chauffeur ou guide, il faut choisir
A Tahiti, il existe des chauffeurs de bus qui font également office de guide alors qu'ils transportent plus d'une quinzaine de personnes. "Il est difficile de conduire et de raconter en même temps l'histoire des différents sites de l'île", a déclaré un "chauffeur-guide" de bus qui estime qu'il manque des guides à Tahiti. Cela dit, Joël Hart estime qu'il existe bien des guides potentiels à Tahiti et a ainsi proposé au GIE Tahiti Manava de faire un recensement des guides.
"Nous sommes en train de voir avec le juriste du ministère des Transports pour la création d'un règlement qui consisterait à obliger les bus ayant un certain nombre de places, à avoir à la fois un chauffeur et un guide", a expliqué Joël Hart, en affirmant que la sécurité passe avant toute chose.
Moorea: la concurrence des commerces
A Moorea (îles du Vent), un conflit datant de plusieurs années s'amplifie de jour en jour pour le transport des touristes. En effet, les taxis se plaignent des prestations gratuites de transport offertes par les bijoutiers et les restaurants afin d'attirer la clientèle dans leur commerce.
Une technique d'approche sans doute bénéfique pour les commerces mais très négative pour les chauffeurs de taxi. Le ministère des Transports est conscient de cela et prévoit de faire un déplacement à Moorea le mois prochain, avec notamment des gendarmes et des magistrats, afin de régler ce problème. En outre, selon le représentant du ministère, une révision de la réglementation est aussi à l'étude.