Cela fait 14 ans que Michael Frenzel est à la tête de TUI et de nombreux observateurs s’interrogeaient avant l’assemblée générale des actionnaires s’il serait maintenu à son poste.
D’après les chiffres officiels, ils étaient près de 3000, forts de leurs quelques 180 millions d’actions à être présents mercredi dernier à Hanovre. Une réunion fleuve qui a commencé à 11h du matin pour se terminer à …23 heures. Michael Frenzel qui a trouvé un allié dans l’homme d’affaires russe Alexei Mordashov, patron de Severstal qui détient 10% du tour de table avait à faire face aux critiques de l’autre actionnaire de référence, le magnat norvégien John Fredriksen, à la tête de 11,7%.
L’ argument qui plaide en faveur du patron de TUI, ce sont les résultats plutôt satisfaisants enregistrés au premier trimestre. Le chiffre d’affaires est en hausse de 24% à 5,1 milliards d’euros dont 3,8 milliards réalisés dans le secteur tourisme. Ce chiffre en hausse de 38% intègre pour la première fois les activités de First Choice, le groupe britannique racheté l’année dernière.
D’après les chiffres officiels, ils étaient près de 3000, forts de leurs quelques 180 millions d’actions à être présents mercredi dernier à Hanovre. Une réunion fleuve qui a commencé à 11h du matin pour se terminer à …23 heures. Michael Frenzel qui a trouvé un allié dans l’homme d’affaires russe Alexei Mordashov, patron de Severstal qui détient 10% du tour de table avait à faire face aux critiques de l’autre actionnaire de référence, le magnat norvégien John Fredriksen, à la tête de 11,7%.
L’ argument qui plaide en faveur du patron de TUI, ce sont les résultats plutôt satisfaisants enregistrés au premier trimestre. Le chiffre d’affaires est en hausse de 24% à 5,1 milliards d’euros dont 3,8 milliards réalisés dans le secteur tourisme. Ce chiffre en hausse de 38% intègre pour la première fois les activités de First Choice, le groupe britannique racheté l’année dernière.
Le tourisme enregistre un résultat négatif de 227 millions d’euros
La perte d’exploitation du premier trimestre 2008 s’est réduite à 196 millions d’euros contre 248 millions d’euros pour la même période de 2007. C’est la bonne performance de la filiale maritime Hapag Lloyd qui porte principalement la réduction de la perte.
Le tourisme enregistre pour sa part un résultat négatif de 227 millions d’euros, quasi-stable par rapport à 2007. Le détail des résultats sera d’ailleurs publié par le groupe allemand le 15 mai mais le patron de TUI s’est montré optimiste pour l’activité tourisme au vu du volume de réservations enregistrées pour l’été.
Fort de la confiance des actionnaires, Michael Frenzel peut donc concrétiser ses projets immédiats. Comme la fusion de la compagnie TUIfly avec Germanwings, la filiale de Lufthansa. Cette fusion est, d’après le patron de TUI, une affaire de semaines…
Autre projet d’envergure, la vente des activités de containers qui devrait faire rentrer dans les caisses près de 5 milliards d‘euros. Que fera TUI avec cette rentrée d’argent frais ? Les spéculations qui ont circulé sur le rachat d’actions de TUI Travel ont été démenties par le groupe. Une chose est sûre, si Michael Frenzel tient à aller au bout de son mandat en 2012, il va devoir chouchouter ses actionnaires…
Le tourisme enregistre pour sa part un résultat négatif de 227 millions d’euros, quasi-stable par rapport à 2007. Le détail des résultats sera d’ailleurs publié par le groupe allemand le 15 mai mais le patron de TUI s’est montré optimiste pour l’activité tourisme au vu du volume de réservations enregistrées pour l’été.
Fort de la confiance des actionnaires, Michael Frenzel peut donc concrétiser ses projets immédiats. Comme la fusion de la compagnie TUIfly avec Germanwings, la filiale de Lufthansa. Cette fusion est, d’après le patron de TUI, une affaire de semaines…
Autre projet d’envergure, la vente des activités de containers qui devrait faire rentrer dans les caisses près de 5 milliards d‘euros. Que fera TUI avec cette rentrée d’argent frais ? Les spéculations qui ont circulé sur le rachat d’actions de TUI Travel ont été démenties par le groupe. Une chose est sûre, si Michael Frenzel tient à aller au bout de son mandat en 2012, il va devoir chouchouter ses actionnaires…
