L'Aéronautique et la marine brésilienne n'excluent pas de dépasser le délai initialement prévu de 21 jours et ne stopperont les recherches des corps que lorsqu'il n'y aura plus aucune chance d'en retrouver.
Toutefois, les familles des victimes qui ont fait le déplacement à l'Institut médico légal (IML) de Récif, n'ont pu reconnaître les dépouilles qui, selon l'IML, ne sont pas identifiables et par conséquent, les reconnaissances ne peuvent avoir valeur juridique.
Pour l'instant, selon les déclarations de l'ambassadeur Pierre-Jean Vandoorne, aucun français ne faisait partie des 16 corps retrouvés.
Toutefois, les familles des victimes qui ont fait le déplacement à l'Institut médico légal (IML) de Récif, n'ont pu reconnaître les dépouilles qui, selon l'IML, ne sont pas identifiables et par conséquent, les reconnaissances ne peuvent avoir valeur juridique.
Pour l'instant, selon les déclarations de l'ambassadeur Pierre-Jean Vandoorne, aucun français ne faisait partie des 16 corps retrouvés.
Autres articles
-
Le transport aérien s'alerte d'une "nette baisse de la demande"
-
Air France-KLM va recruter plus de 1 000 salariés en CDI !
-
Air France-KLM : le bénéfice net en retrait au 3e trimestre 2025
-
TSBA, exonération fiscale… quand la FNAM et Air France dictent leurs amendements ! [ABO]
-
Air Caraïbes : "Il n’y a plus de guerre tarifaire dans les Antilles" [ABO]
Selon les données préliminaires des experts résultant de l'examen, aucune des 16 victimes retrouvées (sur 49) ne porte de traces de brûlures. Le fait qu'elles ne portent pas de vêtements non plus, laisse à penser que ceux-ci ont pu être arrachés par le vent.
Ainsi, l'hypothèse d'une désintégration de l'A330 dans l'atmosphère avant de retomber dans l'Atlantique, est de plus en plus renforcée, rapporte "O Globo" qui cite les experts brésiliens.
Tout semble indiquer que l'avion a été victime d'une chute soudaine et d'une dislocation brutale. Il reste à déterminer ce qui a pu causer ce décrochage et à établir le lien de cause à effet avec les conditions météo particulièrement difficiles dans la zone.
Ainsi, l'hypothèse d'une désintégration de l'A330 dans l'atmosphère avant de retomber dans l'Atlantique, est de plus en plus renforcée, rapporte "O Globo" qui cite les experts brésiliens.
Tout semble indiquer que l'avion a été victime d'une chute soudaine et d'une dislocation brutale. Il reste à déterminer ce qui a pu causer ce décrochage et à établir le lien de cause à effet avec les conditions météo particulièrement difficiles dans la zone.
















