Kuoni ne retournera pas négocier les conditions des contrats de référencement avec Selectour Afat - DR : Capture d'écran Kuoni.fr
Emmanuel Foiry reste inflexible.
Le directeur de Travel Lab (Kuoni) a confirmé, mardi 9 février 2016, qu’il ne retournerait pas négocier les conditions des contrats de référencement avec Selectour Afat.
« Nous avons été les premiers à dénoncer ce système de commissionnement TTC. Nous n’allons pas changer d’avis malgré le revirement du réseau, car nous sommes déjà trop engagés dans notre démarche avec les agences ».
Le directeur de Travel Lab (Kuoni) a confirmé, mardi 9 février 2016, qu’il ne retournerait pas négocier les conditions des contrats de référencement avec Selectour Afat.
« Nous avons été les premiers à dénoncer ce système de commissionnement TTC. Nous n’allons pas changer d’avis malgré le revirement du réseau, car nous sommes déjà trop engagés dans notre démarche avec les agences ».
Des délais de règlement plus favorables
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Emmanuel Foiry assure que ses conditions proposées aux agences en direct vont être aussi avantageuses, voire même meilleures qu’auparavant.
« Nous allons désormais pouvoir partager ce que nous reversions autrefois à Selectour Afat, notamment les trois points qui partaient à la centrale », glisse-t-il.
Il compte également accorder des délais de règlement plus favorables que ceux du réseau.
Il espère que cette générosité lui permettra de maintenir ses ventes, même si Selectour Afat décrète un embargo sur les marques du groupe.
Rappelons que le réseau réalisait entre 10 et 15% de son chiffre d’affaires.
Désormais libre de sa distribution, il a déjà terminé la vérification des bilans financiers des agences avec lesquelles il compte signer en direct. Un travail de sélection laborieux mais bénéfique à long terme.
« Au final, nous piloterons mieux les ventes. Car dans tous les cas, ce sont toujours 20% des mêmes agences qui engrangent 80% de notre activité ».
« Nous allons désormais pouvoir partager ce que nous reversions autrefois à Selectour Afat, notamment les trois points qui partaient à la centrale », glisse-t-il.
Il compte également accorder des délais de règlement plus favorables que ceux du réseau.
Il espère que cette générosité lui permettra de maintenir ses ventes, même si Selectour Afat décrète un embargo sur les marques du groupe.
Rappelons que le réseau réalisait entre 10 et 15% de son chiffre d’affaires.
Désormais libre de sa distribution, il a déjà terminé la vérification des bilans financiers des agences avec lesquelles il compte signer en direct. Un travail de sélection laborieux mais bénéfique à long terme.
« Au final, nous piloterons mieux les ventes. Car dans tous les cas, ce sont toujours 20% des mêmes agences qui engrangent 80% de notre activité ».