Ce résultat encore non audité ni vérifié représenterait "une amélioration considérable par rapport aux 17 millions (13,6 M USD) de bénéfice d'exploitation avant éléments liés à la réorganisation et à la restructuration du trimestre correspondant de 2003", a souligné l'ancien monopole canadien.
"Même si les actuels prix records du carburéacteur ont de quoi inquiéter, la hausse de la facture de carburant a été en partie absorbée par un supplément exigé à cet égard sur les vols transfrontaliers et les vols internationaux, ainsi que par la vigueur du dollar canadien", a fait valoir Air Canada.
Au 13 octobre 2004, la société disposait d'une encaisse consolidée d'environ 1,9 md CAD (1,5 md USD), représentant les liquidités détenues dans ses comptes en banque. Pour autant, elle ne donne pas d'indication sur son futur résultat net qui, "comme par les trimestres précédents, en raison de la restructuration (...), tiendra compte d'un certain nombre d'éléments très importants directement liés à la réorganisation et à la restructuration".
Les mesures de compression des coûts commencent à payer
Ces résultats financiers complets du troisième trimestre seront publiés "au plus tard le 15 novembre 2004". "En dépit des prix du pétrole qui se situent actuellement à un niveau record, (ce bénéfice d'exploitation attendu) traduit les progrès gigantesques que les employés d'Air Canada ont accomplis tout au long de ces 18 mois de restructuration.
Notre chiffre d'affaires est solide et notre coût unitaire est à la baisse et cela, même si les prix de base du carburant ont grimpé de 41 %", a souligné Robert Milton, Pdg de Gestion ACE Aviation, la nouvelle holding du groupe.
Durant ce troisième trimestre, les "produits passages par siège-mille offert (SMO) devraient se situer en hausse d'environ 6 % par rapport aux niveaux de 2003", a souligné la compagnie qui pense grâce à cette hausse "réduire son coût unitaire de quelque 4% par rapport au trimestre correspondant de 2003 (11 % si l'on fait exclusion du carburant).
"Cette réduction du coût unitaire est principalement la résultante des mesures de compression des coûts entreprises dans le cadre du processus de restructuration, et qui ont vraiment commencé à donner des résultats probants au troisième trimestre de 2003", a souligné la compagnie.
Air Canada, sorti de la loi des faillites fin septembre, avait enregistré au 2e trimestre 2004 une perte nette de 510 millions de dollars canadiens (408 M USD) pour un bénéfice d'exploitation, excluant toutes les charges reliées à sa restructuration, atteignant 22 M CAD (17,6 M USD).
"Même si les actuels prix records du carburéacteur ont de quoi inquiéter, la hausse de la facture de carburant a été en partie absorbée par un supplément exigé à cet égard sur les vols transfrontaliers et les vols internationaux, ainsi que par la vigueur du dollar canadien", a fait valoir Air Canada.
Au 13 octobre 2004, la société disposait d'une encaisse consolidée d'environ 1,9 md CAD (1,5 md USD), représentant les liquidités détenues dans ses comptes en banque. Pour autant, elle ne donne pas d'indication sur son futur résultat net qui, "comme par les trimestres précédents, en raison de la restructuration (...), tiendra compte d'un certain nombre d'éléments très importants directement liés à la réorganisation et à la restructuration".
Les mesures de compression des coûts commencent à payer
Ces résultats financiers complets du troisième trimestre seront publiés "au plus tard le 15 novembre 2004". "En dépit des prix du pétrole qui se situent actuellement à un niveau record, (ce bénéfice d'exploitation attendu) traduit les progrès gigantesques que les employés d'Air Canada ont accomplis tout au long de ces 18 mois de restructuration.
Notre chiffre d'affaires est solide et notre coût unitaire est à la baisse et cela, même si les prix de base du carburant ont grimpé de 41 %", a souligné Robert Milton, Pdg de Gestion ACE Aviation, la nouvelle holding du groupe.
Durant ce troisième trimestre, les "produits passages par siège-mille offert (SMO) devraient se situer en hausse d'environ 6 % par rapport aux niveaux de 2003", a souligné la compagnie qui pense grâce à cette hausse "réduire son coût unitaire de quelque 4% par rapport au trimestre correspondant de 2003 (11 % si l'on fait exclusion du carburant).
"Cette réduction du coût unitaire est principalement la résultante des mesures de compression des coûts entreprises dans le cadre du processus de restructuration, et qui ont vraiment commencé à donner des résultats probants au troisième trimestre de 2003", a souligné la compagnie.
Air Canada, sorti de la loi des faillites fin septembre, avait enregistré au 2e trimestre 2004 une perte nette de 510 millions de dollars canadiens (408 M USD) pour un bénéfice d'exploitation, excluant toutes les charges reliées à sa restructuration, atteignant 22 M CAD (17,6 M USD).