Le résultat d’exploitation de l’activité passage s’améliore fortement, passant de -338 millions d’euros au 30 juin 2009 à -142 millions d’euros au 30 juin 2010.
Le résultat d’exploitation s’est fortement amélioré, passant d’une perte de 496 millions d’euros à une perte de 132 millions d’euros, soit une réduction des pertes de 364 millions d’euros.
Hors impact négatif de la fermeture de l’espace aérien européen (estimée à 158 millions d’euros), le groupe aurait dégagé un résultat d’exploitation positif de 26 millions d’euros, soit une amélioration de 522 millions d’euros par rapport à l’an dernier.
La fermeture de l’espace aérien en avril a masqué la reprise du trafic passage. En effet, sur le trimestre, le trafic est en baisse de 2,3% alors qu’il a progressé de plus de 4% aux mois de mai et de juin.
Les capacités sont en baisse de 4,9% permettant au coefficient d’occupation de gagner 2,2 points à 81,5%.
Cette reprise du trafic s’est accompagnée d’un redressement des recettes unitaires à des niveaux proches de ceux de 2007-08.
Ainsi, la recette unitaire au siège kilomètre offert (RSKO) a augmenté de 14,8%. Le chiffre d’affaires est en hausse de 8,8% à 4,37 milliards d’euros.
Hors impact négatif de la fermeture de l’espace aérien européen (estimée à 158 millions d’euros), le groupe aurait dégagé un résultat d’exploitation positif de 26 millions d’euros, soit une amélioration de 522 millions d’euros par rapport à l’an dernier.
La fermeture de l’espace aérien en avril a masqué la reprise du trafic passage. En effet, sur le trimestre, le trafic est en baisse de 2,3% alors qu’il a progressé de plus de 4% aux mois de mai et de juin.
Les capacités sont en baisse de 4,9% permettant au coefficient d’occupation de gagner 2,2 points à 81,5%.
Cette reprise du trafic s’est accompagnée d’un redressement des recettes unitaires à des niveaux proches de ceux de 2007-08.
Ainsi, la recette unitaire au siège kilomètre offert (RSKO) a augmenté de 14,8%. Le chiffre d’affaires est en hausse de 8,8% à 4,37 milliards d’euros.
131 Mie d’économies avec Challenge 12
Autres articles
-
Air France : vers une grève pendant les JO 2024 ?
-
Charte aérienne : le SETO signe avec Air France et bientôt... Transavia
-
République dominicaine : "2023 a été l'année de tous les excès"
-
Attaque Iran - Israël : les compagnies aériennes adaptent leur programme de vols
-
Kérosène aux Antilles : les compagnies réclament des millions à l'Etat ! 🔑
Le résultat d’exploitation de l’activité passage s’améliore fortement, passant de -338 millions d’euros au 30 juin 2009 à -142 millions d’euros au 30 juin 2010.
Hors impact de la fermeture de l’espace aérien, cette activité aurait été à l’équilibre (+3 millions d’euros).
L’impact de la fermeture de l’espace aérien sur les coûts unitaires est évalué à 2,4 points. Les charges d’exploitation augmentent de 3,3% sous l’effet de la hausse de la charge de carburant.
Hors carburant, les charges d’exploitation sont en baisse de 2,6%. Le groupe a réalisé 131 millions d’euros d’économies dans le cadre du plan Challenge 12. L’objectif de ce plan pour l’année en cours est revu en hausse de 510 à 540 millions d’euros.
La principale variation des charges d’exploitation est due au carburant, qui augmente de 26,8%, soit un montant de 305 millions d’euros, sous les effets combinés d’une réduction des volumes de 4%, d’un effet de change défavorable de 3% et d’une hausse du prix du carburant après couverture de 28%.
Hors impact de la fermeture de l’espace aérien, cette activité aurait été à l’équilibre (+3 millions d’euros).
L’impact de la fermeture de l’espace aérien sur les coûts unitaires est évalué à 2,4 points. Les charges d’exploitation augmentent de 3,3% sous l’effet de la hausse de la charge de carburant.
Hors carburant, les charges d’exploitation sont en baisse de 2,6%. Le groupe a réalisé 131 millions d’euros d’économies dans le cadre du plan Challenge 12. L’objectif de ce plan pour l’année en cours est revu en hausse de 510 à 540 millions d’euros.
La principale variation des charges d’exploitation est due au carburant, qui augmente de 26,8%, soit un montant de 305 millions d’euros, sous les effets combinés d’une réduction des volumes de 4%, d’un effet de change défavorable de 3% et d’une hausse du prix du carburant après couverture de 28%.
Cash flow disponible positif de 285 millions d’euros
Le résultat d’exploitation est négatif de 132 millions d’euros contre une perte de 496 millions d’euros un an plus tôt.
Le résultat d’exploitation ajusté (*) est négatif de 64 millions d’euros. Le résultat des activités opérationnelles est positif de 878 millions d’euros après 1,03 milliard d’euros de plus-value sur Amadeus.
Le coût de l'endettement financier net est passé de 56 millions à 96 millions d’euros et les autres charges et produits financiers enregistrent un solde négatif de 113 millions d’euros dont 100 millions d’euros de résultat de change négatif.
Le cash flow disponible s’élève à 285 millions d’euros en tenant compte de la trésorerie dégagée lors de l’opération Amadeus (193 millions d’euros).
La situation financière très solide du groupe est confirmée avec une trésorerie de 4,68 milliards d’euros et des lignes de crédit disponibles de 1,1 milliard d’euros.
(*) Résultat d’exploitation ajusté de la part des loyers opérationnels correspondant aux frais financiers (34%)
Le résultat d’exploitation ajusté (*) est négatif de 64 millions d’euros. Le résultat des activités opérationnelles est positif de 878 millions d’euros après 1,03 milliard d’euros de plus-value sur Amadeus.
Le coût de l'endettement financier net est passé de 56 millions à 96 millions d’euros et les autres charges et produits financiers enregistrent un solde négatif de 113 millions d’euros dont 100 millions d’euros de résultat de change négatif.
Le cash flow disponible s’élève à 285 millions d’euros en tenant compte de la trésorerie dégagée lors de l’opération Amadeus (193 millions d’euros).
La situation financière très solide du groupe est confirmée avec une trésorerie de 4,68 milliards d’euros et des lignes de crédit disponibles de 1,1 milliard d’euros.
(*) Résultat d’exploitation ajusté de la part des loyers opérationnels correspondant aux frais financiers (34%)