CEDIV : Unir les mémoires, construire les partenariats
Comme chaque année, le programme est chargé – ce jour-là, c’est un départ à 6h45 pour les 180 participants de la convention. L’air est déjà chaud et humide sur la chaloupe.
Trente minutes de traversée plus tard, apparaissent des maisons colorées à l’architecture singulière, qui témoignent du passage des Portugais, des Néerlandais, des Français et des Anglais.
Dès leur arrivée, l’accueil est à la hauteur de l’hospitalité sénégalaise. Des « signares » dansent au rythme des tam-tams – des figures féminines emblématiques du métissage culturel sénégalais.
C’est une chorégraphie lourde de sens, en hommage aux esclaves de l’île de Gorée, qui était le plus grand centre de commerce d’esclaves de la côte africaine du XVe au XIXe siècle. À couper le souffle.
La matinée, pourtant dédiée à la présentation des partenaires, a trouvé un écho particulier entre les murs du fort d’Estrées, transformé en musée historique. Là, chacun a disposé de deux minutes chrono pour présenter ses dernières nouveautés, avant d’entrer dans un dialogue plus intimiste avec des workshops collaboratifs.
Trente minutes de traversée plus tard, apparaissent des maisons colorées à l’architecture singulière, qui témoignent du passage des Portugais, des Néerlandais, des Français et des Anglais.
Dès leur arrivée, l’accueil est à la hauteur de l’hospitalité sénégalaise. Des « signares » dansent au rythme des tam-tams – des figures féminines emblématiques du métissage culturel sénégalais.
C’est une chorégraphie lourde de sens, en hommage aux esclaves de l’île de Gorée, qui était le plus grand centre de commerce d’esclaves de la côte africaine du XVe au XIXe siècle. À couper le souffle.
La matinée, pourtant dédiée à la présentation des partenaires, a trouvé un écho particulier entre les murs du fort d’Estrées, transformé en musée historique. Là, chacun a disposé de deux minutes chrono pour présenter ses dernières nouveautés, avant d’entrer dans un dialogue plus intimiste avec des workshops collaboratifs.
Rencontres et immersion sur l'île de Gorée
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À l’heure du déjeuner, une brise marine souffle sur la place de la Liberté. Offert par CMS Vacances, le repas a permis aux participants de goûter quelques spécialités locales : grillades de poissons et viandes, salade de mangue et même du lait caillé.
Aux ateliers ont succédé des rencontres : d’abord avec les enfants de l’association Keur Khadija, pour un moment tout en sourires et en partage. Puis la visite de la Maison des Esclaves a fait peser l’histoire du lieu dans tous les esprits : un million d’Africains aurait transité par Gorée.
En arpentant les ruelles, les participants se sont imprégnés de la culture locale. C’est dans une ambiance douce et populaire que la journée s'achève, toujours accompagnée de musique.
Aux ateliers ont succédé des rencontres : d’abord avec les enfants de l’association Keur Khadija, pour un moment tout en sourires et en partage. Puis la visite de la Maison des Esclaves a fait peser l’histoire du lieu dans tous les esprits : un million d’Africains aurait transité par Gorée.
En arpentant les ruelles, les participants se sont imprégnés de la culture locale. C’est dans une ambiance douce et populaire que la journée s'achève, toujours accompagnée de musique.