
DR UE
Les réunions se poursuivent à Bruxelles autour de la révision de la directive européenne des voyages à forfait.
Le dernier trilogue a eu lieu le 22 avril 2105, et à son issue aucun consensus n'a été trouvé a indiqué le SNAV, le SETO et l'APST dans un communiqué commun.
Un résultat qui convient tout à fait aux 3 instances professionnelles : nous sommes "soulagés qu'il n'y ait pas eu de résultat final.
En effet, aucun des 3 projets proposés ne donnait satisfaction aux instances des professionnels du tourisme tant français qu’européens."
Les 3 organisations vont poursuivre leur lobbying autour de 3 points :
"- Un même niveau de protection apporté au consommateur lorsqu’il achète plusieurs prestations pour un même voyage quel que soit le processus d’achat utilisé pour son achat.
- Un même niveau d’obligation pour tout type de professionnels afin d’éviter une distorsion de concurrence.
- Une prise en compte des réalités économiques du secteur du tourisme et du voyage qui impose de ne pas contraindre lourdement les entreprises. Ces nouvelles contraintes financières entraîneraient inévitablement des répercussions négatives sur l’emploi. "
Le dernier trilogue a eu lieu le 22 avril 2105, et à son issue aucun consensus n'a été trouvé a indiqué le SNAV, le SETO et l'APST dans un communiqué commun.
Un résultat qui convient tout à fait aux 3 instances professionnelles : nous sommes "soulagés qu'il n'y ait pas eu de résultat final.
En effet, aucun des 3 projets proposés ne donnait satisfaction aux instances des professionnels du tourisme tant français qu’européens."
Les 3 organisations vont poursuivre leur lobbying autour de 3 points :
"- Un même niveau de protection apporté au consommateur lorsqu’il achète plusieurs prestations pour un même voyage quel que soit le processus d’achat utilisé pour son achat.
- Un même niveau d’obligation pour tout type de professionnels afin d’éviter une distorsion de concurrence.
- Une prise en compte des réalités économiques du secteur du tourisme et du voyage qui impose de ne pas contraindre lourdement les entreprises. Ces nouvelles contraintes financières entraîneraient inévitablement des répercussions négatives sur l’emploi. "