Je suis un autodicacte
T.M.com - Quelle fut votre formation ?
F-X.B. Durant mon service militaire sur la « Jeanne » au cours des années 1976 et 77 j'ai eu, par hasard, la charge d'organiser les escales sur un plan touristique... C'était déjà formateur. En réalité je suis un autodidacte.
Après un séjour en Angleterre j'ai rejoint l'affaire familiale. Je suis passé par tous les services et j'ai gravi tous les échelons. Nous étions alors de véritables artisans du voyage. Pour les réservations aériennes nous écrivions les noms des clients au crayon à papier pour pouvoir éventuellement les gommer.
Nous avons connu les joies des trains de neige et des traversées méditerranéennes. Il fallait alors être les premiers à réserver pour obtenir de bonnes places.
T.M.com - Étiez-vous préparé à reprendre, un jour, l'affaire familiale ?
F.X.B. Après le décès de mon père nous étions deux à travailler dans l'entreprise familiale, l'un de mes frères et moi. Avec l'arrivée du Marché Commun et la crainte de la concurrence européenne nous avions ouvert plusieurs poins de ventes dans la région.
Puis ma famille, actionnaire à 90 %, n'a pas souhaité poursuivre l'aventure. Je détenais à l'époque 10 % du capital et je n'avais pas les moyens de reprendre la totalité des parts.
T.M.com - Est-ce alors que vous vous êtes rapproché de Sélectour ?
F-X.B. Cela n'a pas été aussi simple. Au milieu des années 80 nous étions plusieurs agences de voyages et mini-réseaux implantés en Pays de Loire et en Bretagne à nous retrouver.
Nous avions constitué un groupe et nous échangions nos idées et réflexions sur les perspectives du métier. L'informatique commençait à se développer.
Certains étaient plus visionnaires que d'autres. En décembre 1986 je suis allé au congrès Selectour de Zurich Je ne connaissais personne et j'ai été assez impressionné.
F-X.B. Durant mon service militaire sur la « Jeanne » au cours des années 1976 et 77 j'ai eu, par hasard, la charge d'organiser les escales sur un plan touristique... C'était déjà formateur. En réalité je suis un autodidacte.
Après un séjour en Angleterre j'ai rejoint l'affaire familiale. Je suis passé par tous les services et j'ai gravi tous les échelons. Nous étions alors de véritables artisans du voyage. Pour les réservations aériennes nous écrivions les noms des clients au crayon à papier pour pouvoir éventuellement les gommer.
Nous avons connu les joies des trains de neige et des traversées méditerranéennes. Il fallait alors être les premiers à réserver pour obtenir de bonnes places.
T.M.com - Étiez-vous préparé à reprendre, un jour, l'affaire familiale ?
F.X.B. Après le décès de mon père nous étions deux à travailler dans l'entreprise familiale, l'un de mes frères et moi. Avec l'arrivée du Marché Commun et la crainte de la concurrence européenne nous avions ouvert plusieurs poins de ventes dans la région.
Puis ma famille, actionnaire à 90 %, n'a pas souhaité poursuivre l'aventure. Je détenais à l'époque 10 % du capital et je n'avais pas les moyens de reprendre la totalité des parts.
T.M.com - Est-ce alors que vous vous êtes rapproché de Sélectour ?
F-X.B. Cela n'a pas été aussi simple. Au milieu des années 80 nous étions plusieurs agences de voyages et mini-réseaux implantés en Pays de Loire et en Bretagne à nous retrouver.
Nous avions constitué un groupe et nous échangions nos idées et réflexions sur les perspectives du métier. L'informatique commençait à se développer.
Certains étaient plus visionnaires que d'autres. En décembre 1986 je suis allé au congrès Selectour de Zurich Je ne connaissais personne et j'ai été assez impressionné.
